(il y a des gens qui ne peuvent pas ne pas être dans ces commentaires : c'est comme ça, on en fait une histoire du cinéma, poétique oui, mais ambitieuse) (comme ça se termine, ici on ne tient pas compte du "battre la campagne" bien que cette incise s'adresse à nos cœurs quand certains films se déroulent sous nos yeux - et la chamade aussi bien)(enfin tout ça pour dire que aujourd'hui, il s'agit d'un film et d'un réalisateur qui nous importe assez) ça avait fait un peu polémique à sa sortie : il s'agit de l'affaire de l'affiche rouge, du groupe Manouchian, une reconstitution historique alors il se peut que Robert Guédiguian ait pris quelque liberté avec les pratiques idéologiques des acteurs des FTP MOI vis à vis du parti communiste d'alors (il se peut qu'on ait encore aimé Staline, comme un père, petit certes et des peuples sans doute, dans ces années-là) (ou pas - surtout) - il s'agit de la constitution d'un réseau de résistance par des Arméniens (la France aidée aimée soutenue sauvée par ses immigrés mêmes) - casting de dingue (Simon Abkarian en Missak, formidable, Virginie Ledoyen en Mélinée splendide) (la chanson de Léo...) (et tout à l'avenant, Jean-François Stevenin (toujours dans nos cœurs lui) mais ici c'est son fils Robinson qui joue Rayman qui va manquer de tuer un allemand (dans le poème,c'est lui), et aussi le jeune Grégoire Leprince-Ringuet déjà explosif) (et Ariane Ascaride (fatalement) et Jean-Pierre Daroussin (extra), reconstitution peut-être trop propre, mais n'importe encore une fois - une merveille - l'histoire à ne pas oublier, jamais - un classique probablement (même si...) L'armée du crime (Robert Guédiguian, 2009) (à la technique les mêmes toujours - musique additionnelle Alexandre Desplats : formidable tout autant)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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2 Comments:
(il y a des gens qui ne peuvent pas ne pas être dans ces commentaires : c'est comme ça, on en fait une histoire du cinéma, poétique oui, mais ambitieuse) (comme ça se termine, ici on ne tient pas compte du "battre la campagne" bien que cette incise s'adresse à nos cœurs quand certains films se déroulent sous nos yeux - et la chamade aussi bien)(enfin tout ça pour dire que aujourd'hui, il s'agit d'un film et d'un réalisateur qui nous importe assez) ça avait fait un peu polémique à sa sortie : il s'agit de l'affaire de l'affiche rouge, du groupe Manouchian, une reconstitution historique alors il se peut que Robert Guédiguian ait pris quelque liberté avec les pratiques idéologiques des acteurs des FTP MOI vis à vis du parti communiste d'alors (il se peut qu'on ait encore aimé Staline, comme un père, petit certes et des peuples sans doute, dans ces années-là) (ou pas - surtout) - il s'agit de la constitution d'un réseau de résistance par des Arméniens (la France aidée aimée soutenue sauvée par ses immigrés mêmes) - casting de dingue (Simon Abkarian en Missak, formidable, Virginie Ledoyen en Mélinée splendide) (la chanson de Léo...) (et tout à l'avenant, Jean-François Stevenin (toujours dans nos cœurs lui) mais ici c'est son fils Robinson qui joue Rayman qui va manquer de tuer un allemand (dans le poème,c'est lui), et aussi le jeune Grégoire Leprince-Ringuet déjà explosif) (et Ariane Ascaride (fatalement) et Jean-Pierre Daroussin (extra), reconstitution peut-être trop propre, mais n'importe encore une fois - une merveille - l'histoire à ne pas oublier, jamais - un classique probablement (même si...) L'armée du crime (Robert Guédiguian, 2009) (à la technique les mêmes toujours - musique additionnelle Alexandre Desplats : formidable tout autant)
l'instant était parfait
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