jeudi 14 octobre 2021

Poème express n° 884

posted by Lucien Suel at 07:26

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

la tortilla c'est pour Miranda - c'est une république d'Amérique du sud, comme on sait - : l'ambassadeur en revient (c'est Don Rafael), il retrouve ses deux amis, Théveno et Sénéchal - ils projettent un bon repas, se retrouver ensemble, entre amis de bonne compagnie (avec leurs femmes respectives, bien sûr évidemment) - le moelleux des fauteuils, les arômes exquis, tout est là - une énergie fabuleuse - un plaisir avec les femmes de chacun, une extrême satisfaction... mais rien ne va - rien... c'est assez compliqué comme histoire, impossible, inévitable alors que rien ne va dans le sens qu'on attend - c'est une scène inoubliable que de les voir marcher dans la campagne à la recherche d'ils ne savent pas quoi - c'est extraordinaire de les voir se retrouver sur une scène de théâtre... - formidable description d'une sorte de classe sociale, tellement bien éduquée, cultivée, dotée d'un humour magnifique - la richesse et la conscience de soi - Fernando Rey Jean-Pierre Cassel et Paul Frankeur : un trio infernal - les femmes, Bulle Ogier, Stéphane Audran et surtout peut-être, Delphine Seyrig magiques toutes les trois- le ministre de l'intérieur : Michel Piccoli, formidable - sans explication, rien ne va mais tout est là juste comme la rencontre d'un parapluie et d'une machine à coudre, des coups de feu dans la rue au hasard - une table de dissection - une vraie merveille... Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Bunuel, 1972) (au scénario, l'acolyte de Don Luis,Jean-Claude Carrière...)

12:25  
Anonymous ste said...

repas tout juste sorti du piment

16:47  

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