(il est une (assez importante) (ou grosse, c'est comme tu veux) partie du cinéma français qui fait dans la comédie, la gaudriole, l'esprit bien franchouillard, libidineux mais qui se veut (et qui l'est parfois, ne soyons pas chien) drôle et enlevé) (il faut bien qu'on en parle,ou ce n'est pas nécessaire ? je ne suis pas certain, mais je me souviens - il y avait dans le même genre un magicien, je ne sais plus (si, Garcimore) - là c'est une chanson de Marcel Zanini (eh oui) qui met sur la voie (magistrale : "tu veux ou tu veux pas" - interprétée (c'est beaucoup dire) par l'inénarrable BB - et donc un film de ce type dont le titre dépeint parfaitement cette femme blonde et parangon de l'adjectif sculptural - les images d'elle se prélassant sur la plage du Carlton à Cannes 54 alors que les photographes mutent et s'avilissent en paparazzi - ce n'est que notre monde (le truc formidable de nos jours c'est "à l'ancienne" tu as remarqué ? - "dans le temps" car nous en avons derrière nous sans doute - et probablement moins devant) - ici la qualité française dans toute sa splendide médiocrité, un Edouard Molinaro et un Michel Legrand aussi (pas encore oscarisé) quand même (rigolade un peu grasse, "gauloise") mais l'héroïne a mal tourné (il y a dans le scénario du film une espèce de revendication : l'espionnage, James Bond et Ursula Andress par exemple - Docteur No date de 62 et sort en 63 en France) un "coup" de producteur sans doute - mais bravo pour le titre - Une ravissante idiote (Edouard Molinaro, 1964)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(il est une (assez importante) (ou grosse, c'est comme tu veux) partie du cinéma français qui fait dans la comédie, la gaudriole, l'esprit bien franchouillard, libidineux mais qui se veut (et qui l'est parfois, ne soyons pas chien) drôle et enlevé) (il faut bien qu'on en parle,ou ce n'est pas nécessaire ? je ne suis pas certain, mais je me souviens - il y avait dans le même genre un magicien, je ne sais plus (si, Garcimore) - là c'est une chanson de Marcel Zanini (eh oui) qui met sur la voie (magistrale : "tu veux ou tu veux pas" - interprétée (c'est beaucoup dire) par l'inénarrable BB - et donc un film de ce type dont le titre dépeint parfaitement cette femme blonde et parangon de l'adjectif sculptural - les images d'elle se prélassant sur la plage du Carlton à Cannes 54 alors que les photographes mutent et s'avilissent en paparazzi - ce n'est que notre monde (le truc formidable de nos jours c'est "à l'ancienne" tu as remarqué ? - "dans le temps" car nous en avons derrière nous sans doute - et probablement moins devant) - ici la qualité française dans toute sa splendide médiocrité, un Edouard Molinaro et un Michel Legrand aussi (pas encore oscarisé) quand même (rigolade un peu grasse, "gauloise") mais l'héroïne a mal tourné (il y a dans le scénario du film une espèce de revendication : l'espionnage, James Bond et Ursula Andress par exemple - Docteur No date de 62 et sort en 63 en France) un "coup" de producteur sans doute - mais bravo pour le titre - Une ravissante idiote (Edouard Molinaro, 1964)
tu tutu tutu tututu tu tutu
Enregistrer un commentaire
<< Home