(on nous a changé le standard ou quoi ?) (je parle de la numérotation graphique des P/E*) (je m'égare : on parle ciné) (d'accord mais pas que) (attention : chef d'œuvre) je suis embêté avec ce garçon-là (c'est un peu comme avec Truffaut ou Tati, on pourra me dire ce qu'on voudra, je ne parviens pas à leur trouver de qualité - et comme sur ce plan-là (je veux dire la critique) je suis d'assez (facilement) mauvaise foi, ça va être difficile de me faire entendre que j'ai tort - alors n'essaye pas steuplé) mais là, impossible de ne pas voir, et indiscutablement il faut le mentionner, un des films les plus achevés du cinéma (français, mais mondial) (le réalisateur s'est tiré une décharge de carabine dans le cœur je crois bien (5/11/1981), si je me souviens, ce qui tendrait à accréditer la thèse d'un manque de goût pour la vie : ce manque-là, je ne le comprends pas) (je ne suis pas non plus boiteux à vie, c'est vrai) (il a commis, ensuite, un autre film impossible à regarder tellement il est pervers, ça se nomme "une sale histoire" (1977) qui va dans le même registre des turpitudes humaines, notamment masculines) (quelques années avant, la Rosière de Pessac (1968) était pourtant une vraie réussite) tout ça a quelque chose à voir avec aujourd'hui (le poème est tellement parfait : on n'en croit pas ses yeux) il s'agit d'une histoire triangulaire, deux femmes et un homme (misogyne en diable - il faudrait le revoir, à l'aune de l'intersectionnalité) (je vais essayer jte dirai) le choix est mince, en effet (le titre l'indique) mais les actrices sont formidables (Marie et Véronika) l'acteur est assez faux, mais c'est sa juste qualité (Alexandre) (elles, ce sont Françoise Lebrun et Bernadette Lafont, magiques - lui, Jean-Pierre Léaud, falot) (non, mais par exemple dans les Kaurismaki je l'aime bien lui) ça dure quand même près de quatre heures, ça a été primé à Cannes en 1973 (image Pierre Lhomme) enfin il y en aurait (encore) (beaucoup) à dire mais j'arrête (pour la deuxième moitié du siècle dernier c'est peut-être bien un phare, un peu comme Apocalypse Now (FF Coppola, 1979) ou le 2001 de Stanley(1968)) (le type même du film français, trois personnages, une chambre et emballez) mais c'est une merveille - La maman et la putain (Jean Eustache, 1973)(le mieux c'est de le voir : on le peut, sur internet, sans autre forme de procès)
Juste une phrase à propos de la numérotation. Ce poème a été créé en janvier 2016 pour présenter mes vœux aux abonnés de mon compte tw ; et je lui ai accolé le n°2016 ; mais comme la série s'arrête au n° 1OOO, je l'ai réintégré dans le tronc commun avec un nouveau n° via le logiciel primitif Paint. Sinon tu donnes envie de voir ou revoir cet ultime film de Jean Eustache.
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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poex n°
(on nous a changé le standard ou quoi ?) (je parle de la numérotation graphique des P/E*) (je m'égare : on parle ciné) (d'accord mais pas que) (attention : chef d'œuvre) je suis embêté avec ce garçon-là (c'est un peu comme avec Truffaut ou Tati, on pourra me dire ce qu'on voudra, je ne parviens pas à leur trouver de qualité - et comme sur ce plan-là (je veux dire la critique) je suis d'assez (facilement) mauvaise foi, ça va être difficile de me faire entendre que j'ai tort - alors n'essaye pas steuplé) mais là, impossible de ne pas voir, et indiscutablement il faut le mentionner, un des films les plus achevés du cinéma (français, mais mondial) (le réalisateur s'est tiré une décharge de carabine dans le cœur je crois bien (5/11/1981), si je me souviens, ce qui tendrait à accréditer la thèse d'un manque de goût pour la vie : ce manque-là, je ne le comprends pas) (je ne suis pas non plus boiteux à vie, c'est vrai) (il a commis, ensuite, un autre film impossible à regarder tellement il est pervers, ça se nomme "une sale histoire" (1977) qui va dans le même registre des turpitudes humaines, notamment masculines) (quelques années avant, la Rosière de Pessac (1968) était pourtant une vraie réussite) tout ça a quelque chose à voir avec aujourd'hui (le poème est tellement parfait : on n'en croit pas ses yeux) il s'agit d'une histoire triangulaire, deux femmes et un homme (misogyne en diable - il faudrait le revoir, à l'aune de l'intersectionnalité) (je vais essayer jte dirai) le choix est mince, en effet (le titre l'indique) mais les actrices sont formidables (Marie et Véronika) l'acteur est assez faux, mais c'est sa juste qualité (Alexandre) (elles, ce sont Françoise Lebrun et Bernadette Lafont, magiques - lui, Jean-Pierre Léaud, falot) (non, mais par exemple dans les Kaurismaki je l'aime bien lui) ça dure quand même près de quatre heures, ça a été primé à Cannes en 1973 (image Pierre Lhomme) enfin il y en aurait (encore) (beaucoup) à dire mais j'arrête (pour la deuxième moitié du siècle dernier c'est peut-être bien un phare, un peu comme Apocalypse Now (FF Coppola, 1979) ou le 2001 de Stanley(1968)) (le type même du film français, trois personnages, une chambre et emballez) mais c'est une merveille - La maman et la putain (Jean Eustache, 1973)(le mieux c'est de le voir : on le peut, sur internet, sans autre forme de procès)
Juste une phrase à propos de la numérotation. Ce poème a été créé en janvier 2016 pour présenter mes vœux aux abonnés de mon compte tw ; et je lui ai accolé le n°2016 ; mais comme la série s'arrête au n° 1OOO, je l'ai réintégré dans le tronc commun avec un nouveau n° via le logiciel primitif Paint.
Sinon tu donnes envie de voir ou revoir cet ultime film de Jean Eustache.
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