(on entendrait aisément la voix d'Anna Magnani dans l'adaptation de "la Voix Humaine" de Jean Cocteau (mise en scène par Roberto Rossellini, L'Amore première partie, 1948) mais le film a déjà été ici) (on pourrait aussi cesser de ne pas re-citer les films mais enfin, je préfère ne pas - comme disait l'autre)(Ah Bartleby..!) ce qui attrape le commentateur (comme je crois le poète (serait-il express) ce sont ici les adverbes (et donc par association d'idées, les dialogues d'un film - une femme avait l'obligation de son mari (je crois qu'il s'agissait d'un rôle interprété par Raimu) de ne répondre aux questions des étrangers (je crois me souvenir que c'était lors d'une croisière) entreprenants et opportuns par essence qu'avec des adverbes - elle croise un beau garçon,le dialogue s'engage -plusieurs fois elle répond "évidemment", puis "parfaitement", ou encore "galamment", puis "subrepticement" etc. le dialogue dure un peu, puis au bout de sept ou huit répliques de cet ordre, le dragueur pose la question qui tue : "mais pour qui cette (si jolie) bouche garde-t-elle ses baisers?" et la femme de répondre "pour mon amant" (ce qui est une forme d'adverbe,mais uniquement à lavoix) (humaine) - ce genre de dialogue pointe directement sur Sacha Guitry (je ne le déteste point, à vrai dire) et son magnifique "Faisons un rêve" (1936) puisqu'il admet Raimu au générique (Raimu est le mari, Guitry est l'amant) (de Jacqueline Delubac, l'épouse - l'une des épouses de ce Sacha-là urbi et orbi comme on dit - je crois qu'il en eût cinq ou six, un peu comme Zsa Zsa Gabor - il me semble qu'elle en eut, d'époux, sept) (je ne suis pas certain que le dialogue soit tiré de ce film mais il est tiré d'une de ses pièces de théâtre, comme il se doit) (sur une trentaine de films, une vingtaine le sont mais il aimait tant le cinéma pourtant et en fit un de ses arts favoris) "Faisons un rêve" (Sacha Guitry, 1936) (donc)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
3 Comments:
manifestement cette voix ment
(on entendrait aisément la voix d'Anna Magnani dans l'adaptation de "la Voix Humaine" de Jean Cocteau (mise en scène par Roberto Rossellini, L'Amore première partie, 1948) mais le film a déjà été ici) (on pourrait aussi cesser de ne pas re-citer les films mais enfin, je préfère ne pas - comme disait l'autre)(Ah Bartleby..!) ce qui attrape le commentateur (comme je crois le poète (serait-il express) ce sont ici les adverbes (et donc par association d'idées, les dialogues d'un film - une femme avait l'obligation de son mari (je crois qu'il s'agissait d'un rôle interprété par Raimu) de ne répondre aux questions des étrangers (je crois me souvenir que c'était lors d'une croisière) entreprenants et opportuns par essence qu'avec des adverbes - elle croise un beau garçon,le dialogue s'engage -plusieurs fois elle répond "évidemment", puis "parfaitement", ou encore "galamment", puis "subrepticement" etc. le dialogue dure un peu, puis au bout de sept ou huit répliques de cet ordre, le dragueur pose la question qui tue : "mais pour qui cette (si jolie) bouche garde-t-elle ses baisers?" et la femme de répondre "pour mon amant" (ce qui est une forme d'adverbe,mais uniquement à lavoix) (humaine) - ce genre de dialogue pointe directement sur Sacha Guitry (je ne le déteste point, à vrai dire) et son magnifique "Faisons un rêve" (1936) puisqu'il admet Raimu au générique (Raimu est le mari, Guitry est l'amant) (de Jacqueline Delubac, l'épouse - l'une des épouses de ce Sacha-là urbi et orbi comme on dit - je crois qu'il en eût cinq ou six, un peu comme Zsa Zsa Gabor - il me semble qu'elle en eut, d'époux, sept) (je ne suis pas certain que le dialogue soit tiré de ce film mais il est tiré d'une de ses pièces de théâtre, comme il se doit) (sur une trentaine de films, une vingtaine le sont mais il aimait tant le cinéma pourtant et en fit un de ses arts favoris) "Faisons un rêve" (Sacha Guitry, 1936) (donc)
Bien évidemment, voilà un commentaire parfaitement argumenté !
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