(particulièrement coton ce poème - ça n'excuse pas le retard mais enfin quand même...) (c'était au temps où on avait besoin d'un fil pour téléphoner : ça n'existe plus) (on pouvait mêmes'en servir pour attacher les méchants à la chaise:on fait comment maintenant ? - ou pire, les étrangler... mais non) (on ne fait guère dans le gore ou l'horreur ici) (on pourrait remarque bien) (mais non pas ici) ce qui intrigue ce sont ces "fillettes" là - les sœurs Bronté ? - peut-être quelque chose de Proust et de son Albertine qui disparaît ? - mais oui, et c'est Chiara Mastroianni qui s'y colle (il y a aussi sa mère en Odette) (et une pléiade de comédiens formidables - Hélène Surgère, Edit Scob, Melvil Poupaud et tant d'autres) : toute une série de rôles (vu qu'il y en a plusieurs centaines dans le grand œuvre à Marcel) (les adaptations ne sont pas nécessairement paradoxales non plus que fidèles et poser des visages sur ces personnages a parfois un goût assez douteux) ici, le réalisateur (Raul Ruiz, la classe) s'est fait aider de Gilles Taurand (qu'on a croisé dans le scénario d'Hôtel des Amériques par exemple) et le résulta est sans doute plus proche de ce qu'on espérait que, par exemple, dans le film adapté de la première partie de cette Recherche ("Un amour de Swann", Volker Schlöndorff, 1984) (quinze ans plus tôt,certes) (près de 3 heures de cinéma - alambiqué, peut-être, oui, mais quand même passionnant) Le temps retrouvé (Raul Ruiz, 1999) (à l'image, Ricardo Aranovitch vieux complice de Ruiz - l'un vient d'Argentine, l'autre du Chili - merveille des merveilles))
Merci beaucoup caro anonyme pour tous ces commentaires érudits et vifs. Il n'y a jamais de retard. Nous faisons les choses quand il nous plaît de les faire (ou pas). Ici la patience et la lenteur sont des qualités
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, présence le 23 septembre à l'occasion de la parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme, 27 avenue Georges Dumas, lecture performée, signature et exposition de poèmes express.
ALENÇON, du 15 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage. Exposition de poèmes express. Dimanche, avec Julien Boutreux, entretien à propos de mon travail. Lundi, rencontres avec des lycéens.
MONTREUIL 93, en novembre, présentation du "Livre des poèmes express" avec les éditions du Dernier Télégramme, lieu et date à préciser...
3 Comments:
au bout du genou
(particulièrement coton ce poème - ça n'excuse pas le retard mais enfin quand même...) (c'était au temps où on avait besoin d'un fil pour téléphoner : ça n'existe plus) (on pouvait mêmes'en servir pour attacher les méchants à la chaise:on fait comment maintenant ? - ou pire, les étrangler... mais non) (on ne fait guère dans le gore ou l'horreur ici) (on pourrait remarque bien) (mais non pas ici) ce qui intrigue ce sont ces "fillettes" là - les sœurs Bronté ? - peut-être quelque chose de Proust et de son Albertine qui disparaît ? - mais oui, et c'est Chiara Mastroianni qui s'y colle (il y a aussi sa mère en Odette) (et une pléiade de comédiens formidables - Hélène Surgère, Edit Scob, Melvil Poupaud et tant d'autres) : toute une série de rôles (vu qu'il y en a plusieurs centaines dans le grand œuvre à Marcel) (les adaptations ne sont pas nécessairement paradoxales non plus que fidèles et poser des visages sur ces personnages a parfois un goût assez douteux) ici, le réalisateur (Raul Ruiz, la classe) s'est fait aider de Gilles Taurand (qu'on a croisé dans le scénario d'Hôtel des Amériques par exemple) et le résulta est sans doute plus proche de ce qu'on espérait que, par exemple, dans le film adapté de la première partie de cette Recherche ("Un amour de Swann", Volker Schlöndorff, 1984) (quinze ans plus tôt,certes) (près de 3 heures de cinéma - alambiqué, peut-être, oui, mais quand même passionnant) Le temps retrouvé (Raul Ruiz, 1999) (à l'image, Ricardo Aranovitch vieux complice de Ruiz - l'un vient d'Argentine, l'autre du Chili - merveille des merveilles))
Merci beaucoup caro anonyme pour tous ces commentaires érudits et vifs.
Il n'y a jamais de retard. Nous faisons les choses quand il nous plaît de les faire (ou pas). Ici la patience et la lenteur sont des qualités
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