(comme je ne sais pas pourquoi, j'explore mais ça ne fait rien - l'aventure du P/E* c'est de dire ce qui passe...) il y a dans ces gestes quelque chose de madame Robinson (Anne Bancroft, splendide) mais rien du Benjamin Braddock (Dustin Hoffmann... formidable ?) non plus que de monsieur Robinson (Murray Hamilton) encore que...) (mais non) (Le Lauréat, Mike Nichols, 1967) (musique Paul Simon et son poteau Art Garfunkel,inoubliable évidemment) (mais c'est pas ça remarque bien : ce serait plus quelque chose comme Bullitt (Peter Yates,1968) à cause de Jacqueline Bisset (sans chignon) et Richard Vaughan (non dégarni) : pur fantasme, donc non pas ça non plus) il y a pas mal (mais les prénoms ne correspondent pas) du capitaine Quilan (Orson Welles, tragique) et de Tana (Marlene Dietrich... ahlala) je crois que ça correspond... (La soif du mal, Orson Welles, 1958) (musique Henri Mancini, fabuleuse) (très étazunien, en tout cas...)
3 Comments:
lissamassa soncrâne
(comme je ne sais pas pourquoi, j'explore mais ça ne fait rien -
l'aventure du P/E* c'est de dire ce qui passe...) il y a dans ces gestes quelque chose de madame Robinson (Anne Bancroft, splendide) mais rien du Benjamin Braddock (Dustin Hoffmann... formidable ?) non plus que de monsieur Robinson (Murray Hamilton) encore que...) (mais non) (Le Lauréat, Mike Nichols, 1967) (musique Paul Simon et son poteau Art Garfunkel,inoubliable évidemment) (mais c'est pas ça remarque bien : ce serait plus quelque chose comme Bullitt (Peter Yates,1968) à cause de Jacqueline Bisset (sans chignon) et Richard Vaughan (non dégarni) : pur fantasme, donc non pas ça non plus) il y a pas mal (mais les prénoms ne correspondent pas) du capitaine Quilan (Orson Welles, tragique) et de Tana (Marlene Dietrich... ahlala) je crois que ça correspond... (La soif du mal, Orson Welles, 1958) (musique Henri Mancini, fabuleuse) (très étazunien, en tout cas...)
Merci. Trois films pour un P.E, on ne va pas couper les cheveux en quatre
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