merveille d'impératifs - les surprises du P/E* - rompez ! (dès demain, donc ?) (je le pose mais je ne l'aime pas) (il me fait un peu penser à Guy Bedos lisant l'annuaire pour faire rire et disant (pour finir) j'ai peur que ces rires ne soient pas de très bonne qualité) (j'ai peur que ce cinéma-là...) (un film de producteurs comme on en fait toujours) (ce n'est pas que je fasse mon bégueule cinéphile averti au teint hâve et que la moue méprisante me prenne en évoquant ce type de film, mais enfin au gros qui tache (car c'en est), je préfère l'élégant) (pour tout te dire, il y a eu à la cinémathèque une manifestation rétrospective de ses films (à Louis) programmé par l'histrion qui en est aujourd'hui le directeur : et justement, c'est cette affaire-là, décomplexé tu vois, que j'agonis - typiquement contemporaine j'imagine (mais ce genre de comportement me semble, aussi, intemporel : l'hypocrisie, le faux-semblant, le snobisme, l'élitisme, le mépris oui, et l 'inconscience de classe) (tous ressentis dans ce film, par exemple le patronyme du premier rôle, Duchemin, t'as qu'à voir) (je veux dire pourquoi pas Ducon tant qu'on y est ?) mais on en parle - c'est et ça reste du cinéma - production Fechner (celui des Charlots), production éxécutive Pierre Grünstein (le même sur Tess de Polanski, 3 ans plus tard); musique Vladimir Cosma; image Renoir (Claude); qualité française (il y a l'humour français aussi bien) (Coluche fait valoir Louis de Funès, et ce sont deux générations qui s'adoubent) (sûrement un film du dimanche soir) du cinéma quand même - l'Aile ou la cuisse (Claude Zidi,1976)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
essayez-le avec des coups
merveille d'impératifs - les surprises du P/E* - rompez ! (dès demain, donc ?) (je le pose mais je ne l'aime pas) (il me fait un peu penser à Guy Bedos lisant l'annuaire pour faire rire et disant (pour finir) j'ai peur que ces rires ne soient pas de très bonne qualité) (j'ai peur que ce cinéma-là...) (un film de producteurs comme on en fait toujours) (ce n'est pas que je fasse mon bégueule cinéphile averti au teint hâve et que la moue méprisante me prenne en évoquant ce type de film, mais enfin au gros qui tache (car c'en est), je préfère l'élégant) (pour tout te dire, il y a eu à la cinémathèque une manifestation rétrospective de ses films (à Louis) programmé par l'histrion qui en est aujourd'hui le directeur : et justement, c'est cette affaire-là, décomplexé tu vois, que j'agonis - typiquement contemporaine j'imagine (mais ce genre de comportement me semble, aussi, intemporel : l'hypocrisie, le faux-semblant, le snobisme, l'élitisme, le mépris oui, et l 'inconscience de classe) (tous ressentis dans ce film, par exemple le patronyme du premier rôle, Duchemin, t'as qu'à voir) (je veux dire pourquoi pas Ducon tant qu'on y est ?) mais on en parle - c'est et ça reste du cinéma - production Fechner (celui des Charlots), production éxécutive Pierre Grünstein (le même sur Tess de Polanski, 3 ans plus tard); musique Vladimir Cosma; image Renoir (Claude); qualité française (il y a l'humour français aussi bien) (Coluche fait valoir Louis de Funès, et ce sont deux générations qui s'adoubent) (sûrement un film du dimanche soir) du cinéma quand même - l'Aile ou la cuisse (Claude Zidi,1976)
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