(le plat italien ressemble au 987* qu'il m'est assez douloureux d'évoquer) cependant, j'aime énormément ce "la chambre d'amis du carton sous le bras consulta sa montre" - beaucoup - il m'évoque Don Luis (qui fut assistant de Jean Epstein, dont "Le tempestaire" (1947) reste et demeure un des sommets de cet art) et son adorablement confus chien, qu'il soit ibère,catalan ou quoi que ce soit d'autre ne m'importe que peu - je sors immédiatement dans la rue, muni de mon Walter PPK emprunté à double zéro sept ("on va s'amuser avec monsieur Goldfinger") (Guy Hamilton, 1964) (et P/E* 639-681) et je tire sur tout ce qui bouge - encore qu'il fasse assez froid :j'en profiterai pour sortir tout nu - Un chien andalou (Luis Bunuel, 1929) (met puis sonorisé puis resonorisé) (joyeux bordel - image Albert Duverger qui travaillait avec Epstein sur "Mauprat" (1926) (adaptation du roman de George Sand) où BunueLuis officiait aussi, devant (il y fait une apparition) comme derrière (il est assistant-réal) la camera) - Pan !! Pan!!! Pan !!
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
4 Comments:
(le plat italien ressemble au 987* qu'il m'est assez douloureux d'évoquer) cependant, j'aime énormément ce "la chambre d'amis du carton sous le bras consulta sa montre" - beaucoup - il m'évoque Don Luis (qui fut assistant de Jean Epstein, dont "Le tempestaire" (1947) reste et demeure un des sommets de cet art) et son adorablement confus chien, qu'il soit ibère,catalan ou quoi que ce soit d'autre ne m'importe que peu - je sors immédiatement dans la rue, muni de mon Walter PPK emprunté à double zéro sept ("on va s'amuser avec monsieur Goldfinger") (Guy Hamilton, 1964) (et P/E* 639-681) et je tire sur tout ce qui bouge - encore qu'il fasse assez froid :j'en profiterai pour sortir tout nu - Un chien andalou (Luis Bunuel, 1929) (met puis sonorisé puis resonorisé) (joyeux bordel - image Albert Duverger qui travaillait avec Epstein sur "Mauprat" (1926) (adaptation du roman de George Sand) où BunueLuis officiait aussi, devant (il y fait une apparition) comme derrière (il est assistant-réal) la camera) - Pan !! Pan!!! Pan !!
C'est un commentaire parfaitement ad hoc.
Normal de voir apparaître Luis Bunuel dans ce poème express "surréaliste" (ils sont rares dans cette veine)
il y manque un "u" et le "met" de parler - avec mes excuses - et bon courage et joyeuses fêtes, pour toi et les tiens
tout est épave
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