désolé c'est un très mauvais film - mais vraiment - d'autant qu'il se déroule dans la réalité - mairie de Tourcoing, ou siège de l'Union pour un mouvement populaire - le type a vingt-sept ou vingt-huit ans - il est déjà maire, c'est formidable, il en profite : on lui demande une aide (tu sais l'entraide, quelque chose de tellement beau et tellement humain : tu vois quoi) il veut bien l'accorder. À condition. Il n'est pas chien, il a une place à défendre, une image à tenir, il est promis à un très bel avenir - il aime ça, le pouvoir, qui peut le lui reprocher - il y a aussi des compensations, tu sais bien quand même - alors bon, il faut bien qu'elle "passe à la casserole" comme elle le dira plus tard. Oui, enfin c'est crûment dit, le monde n'a pas l'habitude de ce genre d'actions, un peu limite c'est vrai, mais le type est jeune, il le reconnaît lui-même "c'est un sale con". Très mauvais film, très mauvais acteur, mise en scène dégueulasse. Non, rien, le monde, tel qu'il est.
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
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désolé c'est un très mauvais film - mais vraiment - d'autant qu'il se déroule dans la réalité - mairie de Tourcoing, ou siège de l'Union pour un mouvement populaire - le type a vingt-sept ou vingt-huit ans - il est déjà maire, c'est formidable, il en profite : on lui demande une aide (tu sais l'entraide, quelque chose de tellement beau et tellement humain : tu vois quoi) il veut bien l'accorder. À condition. Il n'est pas chien, il a une place à défendre, une image à tenir, il est promis à un très bel avenir - il aime ça, le pouvoir, qui peut le lui reprocher - il y a aussi des compensations, tu sais bien quand même - alors bon, il faut bien qu'elle "passe à la casserole" comme elle le dira plus tard. Oui, enfin c'est crûment dit, le monde n'a pas l'habitude de ce genre d'actions, un peu limite c'est vrai, mais le type est jeune, il le reconnaît lui-même "c'est un sale con". Très mauvais film, très mauvais acteur, mise en scène dégueulasse. Non, rien, le monde, tel qu'il est.
visage brusque regard défraîchi
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