Piero Cohen-Hadria a dit... (je mets un film de Jafar Panahi, parce que ça me tord le cœur de le savoir – ainsi que bien d'autres – dans ces prisons – comme ces femmes que j'aime tant (je suis désespéré, mais je continue et me bats) (je ne veux pas laisser tomber dans l'oubli) ce sont les murs de terre – trois femmes magnifiques, trois actrices dans le sens qu'elles agissent, à l'image, qu'elles font avancer le film – qu'elles en sont les moteurs – elles sont à l'image, au cœur même du cinéma - c'est ce qu'il faut en cette occurrence – l'une d'entre elles se cache, loin du village, on ira la retrouver (c'est en cela que le cinéma agit, lui aussi – dirigé parce qu'il faut, mais aussi parce que c'est là qu'il doit aller – se battre pour la liberté, la joie, la vie – faire advenir, oui – quel beau cinéma - (des images magnifiques, qui rappellent Abbas) j'écris mais j'espère, je voudrais, je souhaite que ne soit pas qu'illusion et il (m') est important que les images soient belles (elles le sont) Trois visages (Jafar Panahi, 2018) (prix du scénario au Festival de Canes cette année-là) (dans les rôles principaux, le leur, propres : > Behnaz Jafari : elle-même > Jafar Panahi : lui-même > Marziyeh Rezaei : elle-même > Maedeh Erteghaei : elle-même > Narges Delaram)
restons éveillés, voulez-vous - Femme(s) Vie Liberté
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
3 Comments:
petite théière recroquevillée sur petites choses
Délicat ! Merci Stéphane
Piero Cohen-Hadria a dit...
(je mets un film de Jafar Panahi, parce que ça me tord le cœur de le savoir – ainsi que bien d'autres – dans ces prisons – comme ces femmes que j'aime tant (je suis désespéré, mais je continue et me bats) (je ne veux pas laisser tomber dans l'oubli) ce sont les murs de terre – trois femmes magnifiques, trois actrices dans le sens qu'elles agissent, à l'image, qu'elles font avancer le film – qu'elles en sont les moteurs – elles sont à l'image, au cœur même du cinéma - c'est ce qu'il faut en cette occurrence – l'une d'entre elles se cache, loin du village, on ira la retrouver (c'est en cela que le cinéma agit, lui aussi – dirigé parce qu'il faut, mais aussi parce que c'est là qu'il doit aller – se battre pour la liberté, la joie, la vie – faire advenir, oui – quel beau cinéma - (des images magnifiques, qui rappellent Abbas) j'écris mais j'espère, je voudrais, je souhaite que ne soit pas qu'illusion et il (m') est important que les images soient belles (elles le sont) Trois visages (Jafar Panahi, 2018) (prix du scénario au Festival de Canes cette année-là) (dans les rôles principaux, le leur, propres :
> Behnaz Jafari : elle-même
> Jafar Panahi : lui-même
> Marziyeh Rezaei : elle-même
> Maedeh Erteghaei : elle-même
> Narges Delaram)
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