(la comptine renvoie immédiatement à Hans Beckert (il la sifflote) - mais ce personnage là a déjà fait son apparition ici - P/E*850)(Fritz Lang, 1932) (un de mes films préférés - le commentateur a ses préférences il faut le savoir) (d'ailleurs je ne choisis pas) la personne en question c'est Rachel Cooper, c'est une des stars du cinéma (muet, peut-être, mais du cinéma tout court) (Lilian Gish, merveilleuse), elle est assise sur sa veranda, dans son rocking chair, elle se balance et tient sur ses genoux une carabine - elle chante - elle n'attend rien, elle défend les enfants, tous les enfants - elle est âgée, il s'agit d'une femme, une humaine qui a quelque chose à faire pour que n'advienne pas l'irréparable (il y a toujours un irréparable, pourtant, dans nos vies - toujours) (c'est difficile de parler de ça ces temps-ci parce que il est en train de se produire à l'est du continent) c'est égal et nous n'y pouvons que peu : la comptine, ils la chantent ensemble elle et l'autre,là - les enfants ont peur (la peur qu'ils ressentent est à la mesure des joies qu'ils éprouvent et des émotions qui les emportent...) (les enfants, ah oui -les enfants...) une des merveilles du cinéma étazunien, mais mondial - le cinéma est étazunien, mais mondial aussi - on l'aime, celui-là (l'autre personnage, là, c'est Harry Powell, un prêcheur pervers et cupide (Robert Mitchum a là l'un des plus grands rôles de l'histoire du cinéma - cette chance : il l'a saisie magnifiquement) (il y a aussi la mère des enfants, Willa Harper (formidable (comme toujours) Shelley Winters) - exceptionnel... La Nuit du chasseur (Charles Laughton, 1955) (c'est le seul film réalisé par cet acteur splendide - pas un succès au box-office à l'époque : on ne le laissera plus réaliser de film... - le cinéma (étazunien - mais mondial semble-t-il) c'est comme ça...)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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un compte à comptine
(la comptine renvoie immédiatement à Hans Beckert (il la sifflote) - mais ce personnage là a déjà fait son apparition ici - P/E*850)(Fritz Lang, 1932) (un de mes films préférés - le commentateur a ses préférences il faut le savoir) (d'ailleurs je ne choisis pas) la personne en question c'est Rachel Cooper, c'est une des stars du cinéma (muet, peut-être, mais du cinéma tout court) (Lilian Gish, merveilleuse), elle est assise sur sa veranda, dans son rocking chair, elle se balance et tient sur ses genoux une carabine - elle chante - elle n'attend rien, elle défend les enfants, tous les enfants - elle est âgée, il s'agit d'une femme, une humaine qui a quelque chose à faire pour que n'advienne pas l'irréparable (il y a toujours un irréparable, pourtant, dans nos vies - toujours) (c'est difficile de parler de ça ces temps-ci parce que il est en train de se produire à l'est du continent) c'est égal et nous n'y pouvons que peu : la comptine, ils la chantent ensemble elle et l'autre,là - les enfants ont peur (la peur qu'ils ressentent est à la mesure des joies qu'ils éprouvent et des émotions qui les emportent...) (les enfants, ah oui -les enfants...) une des merveilles du cinéma étazunien, mais mondial - le cinéma est étazunien, mais mondial aussi - on l'aime, celui-là (l'autre personnage, là, c'est Harry Powell, un prêcheur pervers et cupide (Robert Mitchum a là l'un des plus grands rôles de l'histoire du cinéma - cette chance : il l'a saisie magnifiquement) (il y a aussi la mère des enfants, Willa Harper (formidable (comme toujours) Shelley Winters) - exceptionnel... La Nuit du chasseur (Charles Laughton, 1955) (c'est le seul film réalisé par cet acteur splendide - pas un succès au box-office à l'époque : on ne le laissera plus réaliser de film... - le cinéma (étazunien - mais mondial semble-t-il) c'est comme ça...)
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