jeudi 3 mars 2022

Poème Express n° 923

posted by Lucien Suel at 07:19

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(tu bégayes au numéro toi) (plutôt un mec qu'une fille j'ai l'impression) (encore que dans le film, ils aient, l'une et l'autre, la même présence) (je profite du fait que de ce film je viens de connaître l'existence - il est de deux mille vingt et un) le message en question vient d'ailleurs (il y a une voix off qui explique les choses - la MAGIE des choses, des voix et des esprits) (ça a l'air, dit comme ça assez ésotérique mais ça ne l'est vraiment pas) il y a un sort, c'est vrai - j'ai pensé assez vite au livre de Jeanne Favret-Saada (ça irait mieux avec Le Cercle Rouge (JP Melville, 1970) et Vogel/Gian Maria Volonté dans le coffre de la Plymourh conduite par ce Corey/Delon, là, mais c'est déjà fait - P/E*651) ici il s'agit de la liberté même du type-il s'appelle Giorgi ; elle, elle s'appelle Lisa - ils se rencontrent presque au début du film, évidemment le coup de foudre comme on sait - c'est'esprit qui veut reprendre sa liberté : redevenir lui-même je suppose(le message c'st l'amour tu comprends bien) (je me rends compte que je ne suis pas très clair) bon, on s'en fout : c'est l'histoire de ces deux jeunes gens qui se rencontrent se perdent et se retrouvent - dit comme ça, c'est plutôt tiède mais jt'assure que c'est une pure merveille - il y a des enfants (magnifiques) des arbres (si beaux) et le fleuve qui, comme la vie, va en trombe - formidable - j'ai adoré - Sous le ciel de Koutaïssi (Aleksendre Goridze, 2021) (ce n'est pas son premier long mais presque) (on voit apparaître la mère et le père du réalisateur en cinéaste - il y a un film dans le film) (la nationalité du film est géorgien, cette république que voulait annexer l'ignoble (oups) pourriture (pardon, mais c'est la stricte réalité) kremlinistique)

08:00  
Anonymous ste said...

chaque mot le long de son malaise

08:47  

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