jeudi 24 février 2022

Poème express n° 921

posted by Lucien Suel at 07:31

2 Comments:

Anonymous ste said...

mille muscles à l'angle crispé

09:12  
Anonymous Anonyme said...

(tu remarqueras que dans le poème du jour c'est la dernière lettre du le patronyme du héros (qui est aussi le titre du film en anglais) qui est employé) (il n'y a pas de hasard) il s'agit d'un hold-up qui tourne mal - ils sont quatre, il y a sa femme, deux de ses amis (cinglés), l'un des deux et sa femme meurent - direct - c'est assez direct, comme le réalisateur (Don Siegel, pas vraiment un tendre- il est né en 12 et a occupé pratiquement tous les postes du cinéma) - il se trouve que le hold-up qui devait rapporter (seulement) quelques milliers de dollars se monte à un million si mes souvenirs sont bons - erreur d'appréciation des quatre bras cassés - ils sont deux qui restent donc, avec tout cet argent - c'est celui de la mafia : l'un des deux, le "chef" disons (Charley, donc) (Walter Matthau, formidable), décide de garder l'argent : pour ça, il faut se planquer un moment - son acolyte est bête brutal idiot : il veut sa part et tout claquer - ça se passe assez mal - poursuites suspenses rebondissements (haletants...) je ne vais pas tout te dire non plus - c'est un film des années 70, tout était encore possible - on y croyait encore il me semble (ou alors seulement moi... ?) (un peu comme celui qui illustre le P/E*920 - sauf qu'il se termine bien) (enfin mieux) Tuez Charley Varrick ! (Don Siegel, 1973) (musique de Lalo Schiffrin, ça aide aussi beaucoup) (ainsi que Sergio Leone, Don Siegel fut l'un des réalisateurs qui propulsa Clint Eastwood dans sa marche vers la renommée le succès - et la réalisation)

17:23  

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