(en vrai ce qui est venu presque tout de suite, c'est la série (à gerber quand même) des Rocky et autres Balboa, Creed et compagnie de l'illustre Sylvestre - je me permets de signaler à l'assistance (publique comme dirait Francis Blanche à Pierre Dac) qu'il est de 46 (ce qui n'en fait pas un perdreau de l'année, certes) -jte parle même pas des Rambo etc. - il y a sûrement quelque part un fanatique de la marque qui a compté combien il a rapporté au cinéma étazunien (le premier Rocky a coûté moins d'un million de dollars et en a rapporté 117 rien qu'aux US...) - mais la gradation du poème (une suggestion à Stéphane C. "on ne peut pas faire plaisir") (on verra) mais c'est vrai, parfois on va au cinéma, on a une espèce d'espoir que le spectacle vaudra la peine (sinon le prix du billet - car le commentateur ne bénéficie pas d'exonéré comme la plupart des personnels de cette industrie (critiques compris - encore que cette dernière corporation ne se commette pas en salle et préfère de loin les "projections privées" s'il se peut agrémentées de fucking champagne et canapés) qui eux ont "la carte" - je ne m'égare que peu : le film du jour montrera donc le triomphe de truc sur machin (Apollo Creed, noir de peau comme il se devra bien, est déclaré vainqueur) mais machin s'en fout car il est arrivé au sommet de la montagne, but qu'il s'était fixé : il s'est sorti de la misère (et sa beauté avec lui Adrian Pennino (interprétée par Talia Shire - la soeur à Francis Ford Coppola, qui jouait aussi le rôle de Connie Corleone dans les parrains du frère) (enfin une histoire de famille...) (beau comme l'antique - enfin tu m'as compris) Rocky 1 (John Avildsen, 1976 - scénario Sylvester Stalone - ah bah...)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
(en vrai ce qui est venu presque tout de suite, c'est la série (à gerber quand même) des Rocky et autres Balboa, Creed et compagnie de l'illustre Sylvestre - je me permets de signaler à l'assistance (publique comme dirait Francis Blanche à Pierre Dac) qu'il est de 46 (ce qui n'en fait pas un perdreau de l'année, certes) -jte parle même pas des Rambo etc. - il y a sûrement quelque part un fanatique de la marque qui a compté combien il a rapporté au cinéma étazunien (le premier Rocky a coûté moins d'un million de dollars et en a rapporté 117 rien qu'aux US...) - mais la gradation du poème (une suggestion à Stéphane C. "on ne peut pas faire plaisir") (on verra) mais c'est vrai, parfois on va au cinéma, on a une espèce d'espoir que le spectacle vaudra la peine (sinon le prix du billet - car le commentateur ne bénéficie pas d'exonéré comme la plupart des personnels de cette industrie (critiques compris - encore que cette dernière corporation ne se commette pas en salle et préfère de loin les "projections privées" s'il se peut agrémentées de fucking champagne et canapés) qui eux ont "la carte" - je ne m'égare que peu : le film du jour montrera donc le triomphe de truc sur machin (Apollo Creed, noir de peau comme il se devra bien, est déclaré vainqueur) mais machin s'en fout car il est arrivé au sommet de la montagne, but qu'il s'était fixé : il s'est sorti de la misère (et sa beauté avec lui Adrian Pennino (interprétée par Talia Shire - la soeur à Francis Ford Coppola, qui jouait aussi le rôle de Connie Corleone dans les parrains du frère) (enfin une histoire de famille...) (beau comme l'antique - enfin tu m'as compris) Rocky 1 (John Avildsen, 1976 - scénario Sylvester Stalone - ah bah...)
faire le chut
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