(en vrai ce qui est venu presque tout de suite, c'est la série (à gerber quand même) des Rocky et autres Balboa, Creed et compagnie de l'illustre Sylvestre - je me permets de signaler à l'assistance (publique comme dirait Francis Blanche à Pierre Dac) qu'il est de 46 (ce qui n'en fait pas un perdreau de l'année, certes) -jte parle même pas des Rambo etc. - il y a sûrement quelque part un fanatique de la marque qui a compté combien il a rapporté au cinéma étazunien (le premier Rocky a coûté moins d'un million de dollars et en a rapporté 117 rien qu'aux US...) - mais la gradation du poème (une suggestion à Stéphane C. "on ne peut pas faire plaisir") (on verra) mais c'est vrai, parfois on va au cinéma, on a une espèce d'espoir que le spectacle vaudra la peine (sinon le prix du billet - car le commentateur ne bénéficie pas d'exonéré comme la plupart des personnels de cette industrie (critiques compris - encore que cette dernière corporation ne se commette pas en salle et préfère de loin les "projections privées" s'il se peut agrémentées de fucking champagne et canapés) qui eux ont "la carte" - je ne m'égare que peu : le film du jour montrera donc le triomphe de truc sur machin (Apollo Creed, noir de peau comme il se devra bien, est déclaré vainqueur) mais machin s'en fout car il est arrivé au sommet de la montagne, but qu'il s'était fixé : il s'est sorti de la misère (et sa beauté avec lui Adrian Pennino (interprétée par Talia Shire - la soeur à Francis Ford Coppola, qui jouait aussi le rôle de Connie Corleone dans les parrains du frère) (enfin une histoire de famille...) (beau comme l'antique - enfin tu m'as compris) Rocky 1 (John Avildsen, 1976 - scénario Sylvester Stalone - ah bah...)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(en vrai ce qui est venu presque tout de suite, c'est la série (à gerber quand même) des Rocky et autres Balboa, Creed et compagnie de l'illustre Sylvestre - je me permets de signaler à l'assistance (publique comme dirait Francis Blanche à Pierre Dac) qu'il est de 46 (ce qui n'en fait pas un perdreau de l'année, certes) -jte parle même pas des Rambo etc. - il y a sûrement quelque part un fanatique de la marque qui a compté combien il a rapporté au cinéma étazunien (le premier Rocky a coûté moins d'un million de dollars et en a rapporté 117 rien qu'aux US...) - mais la gradation du poème (une suggestion à Stéphane C. "on ne peut pas faire plaisir") (on verra) mais c'est vrai, parfois on va au cinéma, on a une espèce d'espoir que le spectacle vaudra la peine (sinon le prix du billet - car le commentateur ne bénéficie pas d'exonéré comme la plupart des personnels de cette industrie (critiques compris - encore que cette dernière corporation ne se commette pas en salle et préfère de loin les "projections privées" s'il se peut agrémentées de fucking champagne et canapés) qui eux ont "la carte" - je ne m'égare que peu : le film du jour montrera donc le triomphe de truc sur machin (Apollo Creed, noir de peau comme il se devra bien, est déclaré vainqueur) mais machin s'en fout car il est arrivé au sommet de la montagne, but qu'il s'était fixé : il s'est sorti de la misère (et sa beauté avec lui Adrian Pennino (interprétée par Talia Shire - la soeur à Francis Ford Coppola, qui jouait aussi le rôle de Connie Corleone dans les parrains du frère) (enfin une histoire de famille...) (beau comme l'antique - enfin tu m'as compris) Rocky 1 (John Avildsen, 1976 - scénario Sylvester Stalone - ah bah...)
faire le chut
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