il y avait quelque chose comme ça dans le film (à part les bottes), comme de la magie - c'était l'histoire d'un couturier, haute-couture je me souviens du début sa voiture dans la nuit, les phares qui éclairent la campagne anglaise - magnifique (l'image est due au réalisateur - il cumule les postes le bougre) une histoire d'amour contrarié comme il se doit peut-être... (on l'aime encore assez, ce cinéaste, surtout pour son "There will be blood" (2007) (extra sur l'histoire des États-Unis - majeur - si tu ne l'as pas vu, n'hésite plus : il est extra) (avec le même premier rôle, Daniel Day-Lewis, formidable)- les vêtements de la famille royale (d'Angleterre...) dansels années 50 - mais les vêtements, les costumes (le costumier, Mark Bridges (oscar du meilleur costume 2020 pour "Joker" (Todd Philips, 2019) quand même aussi (Hollywood pur et dur, peut-être, mais avec talent) (ce qui n'est pas particulièrement corrélé entendons-nous, hein), fait les costumes de tous les films de Paul Thomas Anderson ( (c'est de lui dont il s'agit)) - mais surtout cette espèce de sort qui faisait que les robes avaient toujours quelque chose (c'est la thèse, un peu du film) un charme, exactement : ce petit quelque chose que le couturier coud à l'intérieur des plis (invisible, toujours, et toujours toujours présent...) (Reynolds Woodcock : l'interprétation est magnifique, mais DDL a annoncé que ce serait son dernier rôle- et là, on est assez marris parce que c'est un acteur extraordinaire (il est de 57)- on ne va pas mettre cette phrase au passé...) (mais quelle pitié...!) - des réserves peut-être sur un scénario un peu concon, si tu veux - mais un beau film quand même Phantom Thread ("Le fil caché" chez nos cousins du Québec) (Paul Thomas Anderson, 2017)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
posée sur l'odeur des bottes
il y avait quelque chose comme ça dans le film (à part les bottes), comme de la magie - c'était l'histoire d'un couturier, haute-couture je me souviens du début sa voiture dans la nuit, les phares qui éclairent la campagne anglaise - magnifique (l'image est due au réalisateur - il cumule les postes le bougre) une histoire d'amour contrarié comme il se doit peut-être... (on l'aime encore assez, ce cinéaste, surtout pour son "There will be blood" (2007) (extra sur l'histoire des États-Unis - majeur - si tu ne l'as pas vu, n'hésite plus : il est extra) (avec le même premier rôle, Daniel Day-Lewis, formidable)- les vêtements de la famille royale (d'Angleterre...) dansels années 50 - mais les vêtements, les costumes (le costumier, Mark Bridges (oscar du meilleur costume 2020 pour "Joker" (Todd Philips, 2019) quand même aussi (Hollywood pur et dur, peut-être, mais avec talent) (ce qui n'est pas particulièrement corrélé entendons-nous, hein), fait les costumes de tous les films de Paul Thomas Anderson ( (c'est de lui dont il s'agit)) - mais surtout cette espèce de sort qui faisait que les robes avaient toujours quelque chose (c'est la thèse, un peu du film) un charme, exactement : ce petit quelque chose que le couturier coud à l'intérieur des plis (invisible, toujours, et toujours toujours présent...) (Reynolds Woodcock : l'interprétation est magnifique, mais DDL a annoncé que ce serait son dernier rôle- et là, on est assez marris parce que c'est un acteur extraordinaire (il est de 57)- on ne va pas mettre cette phrase au passé...) (mais quelle pitié...!) - des réserves peut-être sur un scénario un peu concon, si tu veux - mais un beau film quand même Phantom Thread ("Le fil caché" chez nos cousins du Québec) (Paul Thomas Anderson, 2017)
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