jeudi 28 octobre 2021

Poème express n° 888

posted by Lucien Suel at 07:29

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(ridicule,ridicule, pas tant que ça...) (j'aurais tant aimé épouser une riche héritière ou naître encuilléré d'argent en bouche) (de deux choses l'une (as usual tsais) : l'amérique avec Bette Davis quelque part (tramway sûrement) ou l'Europe avec Marisa Paredes (ce sont ces deux images de femmes merveilleuses qui apparaissent sont apparues apparaîtront) (pour toujours) (tu remarqueras quand même que Tennessee Williams est là les deux fois - ça ne peut pas être un hasard) (il y a Bob Dylan qui chante "I'm on the dark side of the road" ça ne peut pas être un hasard) (ce genre de situation pourrait aussi bien se retrouver dans un des mélodrames merveilleux de Douglas Sir, certes) ("Écrit sur du vent", tout ça - comme ici en un sens) (ce silo est une merveille) (aujourd'hui, huit au cube t'as vu ?) (à l'image Alfonso Beato, qui a commis celle de Antonio das Mortes (Glauber Rocha, 1969) (s'accrocher pour le scénario,certes) merveille d'entre les merveilles que compte ce cinéma-là) (expé peut-être mais si attachant - moi j'adore) mais non, Huma Rojo joue et Manuela a tort (en un sens aussi, évidemment) (Manuela: Cecilia Roth, magistrale) sa vie n'a rien de ridicule (à noter dans la bande son quelque chose du souvenir du All about Eve de Mankiewicz (1950) quand même) (non, mais on n'en sortira pas : c'est là, c'est ce cinéma-là,celui qu'on aime évidemment) (pris de la mise en scène à Cannes, 1999 augmenté d'un goya et d'un oscar film étranger) (rien que d'en parler, on en frémit) une merveille (et probablement - mais nul ne peut encore le dire - un sommet du travail du Pedro...) Tout sur ma mère (Pedro Almodovar, 1999) (production, le frangin Augustin - as usual jte dis)

11:52  
Anonymous ste said...

peut-être n'avait-elle plus l'âge de rire

13:32  

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