(ridicule,ridicule, pas tant que ça...) (j'aurais tant aimé épouser une riche héritière ou naître encuilléré d'argent en bouche) (de deux choses l'une (as usual tsais) : l'amérique avec Bette Davis quelque part (tramway sûrement) ou l'Europe avec Marisa Paredes (ce sont ces deux images de femmes merveilleuses qui apparaissent sont apparues apparaîtront) (pour toujours) (tu remarqueras quand même que Tennessee Williams est là les deux fois - ça ne peut pas être un hasard) (il y a Bob Dylan qui chante "I'm on the dark side of the road" ça ne peut pas être un hasard) (ce genre de situation pourrait aussi bien se retrouver dans un des mélodrames merveilleux de Douglas Sir, certes) ("Écrit sur du vent", tout ça - comme ici en un sens) (ce silo est une merveille) (aujourd'hui, huit au cube t'as vu ?) (à l'image Alfonso Beato, qui a commis celle de Antonio das Mortes (Glauber Rocha, 1969) (s'accrocher pour le scénario,certes) merveille d'entre les merveilles que compte ce cinéma-là) (expé peut-être mais si attachant - moi j'adore) mais non, Huma Rojo joue et Manuela a tort (en un sens aussi, évidemment) (Manuela: Cecilia Roth, magistrale) sa vie n'a rien de ridicule (à noter dans la bande son quelque chose du souvenir du All about Eve de Mankiewicz (1950) quand même) (non, mais on n'en sortira pas : c'est là, c'est ce cinéma-là,celui qu'on aime évidemment) (pris de la mise en scène à Cannes, 1999 augmenté d'un goya et d'un oscar film étranger) (rien que d'en parler, on en frémit) une merveille (et probablement - mais nul ne peut encore le dire - un sommet du travail du Pedro...) Tout sur ma mère (Pedro Almodovar, 1999) (production, le frangin Augustin - as usual jte dis)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
(ridicule,ridicule, pas tant que ça...) (j'aurais tant aimé épouser une riche héritière ou naître encuilléré d'argent en bouche) (de deux choses l'une (as usual tsais) : l'amérique avec Bette Davis quelque part (tramway sûrement) ou l'Europe avec Marisa Paredes (ce sont ces deux images de femmes merveilleuses qui apparaissent sont apparues apparaîtront) (pour toujours) (tu remarqueras quand même que Tennessee Williams est là les deux fois - ça ne peut pas être un hasard) (il y a Bob Dylan qui chante "I'm on the dark side of the road" ça ne peut pas être un hasard) (ce genre de situation pourrait aussi bien se retrouver dans un des mélodrames merveilleux de Douglas Sir, certes) ("Écrit sur du vent", tout ça - comme ici en un sens) (ce silo est une merveille) (aujourd'hui, huit au cube t'as vu ?) (à l'image Alfonso Beato, qui a commis celle de Antonio das Mortes (Glauber Rocha, 1969) (s'accrocher pour le scénario,certes) merveille d'entre les merveilles que compte ce cinéma-là) (expé peut-être mais si attachant - moi j'adore) mais non, Huma Rojo joue et Manuela a tort (en un sens aussi, évidemment) (Manuela: Cecilia Roth, magistrale) sa vie n'a rien de ridicule (à noter dans la bande son quelque chose du souvenir du All about Eve de Mankiewicz (1950) quand même) (non, mais on n'en sortira pas : c'est là, c'est ce cinéma-là,celui qu'on aime évidemment) (pris de la mise en scène à Cannes, 1999 augmenté d'un goya et d'un oscar film étranger) (rien que d'en parler, on en frémit) une merveille (et probablement - mais nul ne peut encore le dire - un sommet du travail du Pedro...) Tout sur ma mère (Pedro Almodovar, 1999) (production, le frangin Augustin - as usual jte dis)
peut-être n'avait-elle plus l'âge de rire
Enregistrer un commentaire
<< Home