(typique du Nouvel Hollywood) (encore qu'il ne soit pas absolument certain que Bobby soit à ce point blessé - intérieurement sans doute (c'est Jack Nicholson qui tient le rôle) : je veux dire ces cicatrices sont tout intérieures) (on n'en saura pas vraiment plus - sauf qu'il ne sait pas non plus exactement ce qu'il faut faire pour vivre - morceaux magnifiques de Chopin, de Bach et de Mozart : cinq pièces faciles) (on ne sait pas qu'il est pianiste, au début - il s'en va avec sa fiancée (un peu concon mais chanteuse adorable quand même) (Karen Black) parce qu'il ne peut pas la laisser seule, semble-t-il (le père de Bobby va mourir) (pourquoi est-il parti ? pourquoi abandonner son talent de pianiste ?) - le poème express a lieu quand il rencontre Catherine (violoniste) (Susan Anspach, si sensible) et que ce qui doit arriver arrive (probablement) - parfaitement sensible et doux - cruel et violent - même si les sentiments qui vivent dans les personnages sont brutaux (on se bat au début) mais la narration est débridée (un peu comme dans le suivant, The King of Marvin's Garden(1972) (P/E* #791)) laissée à l'appréciation du spectateur pour une part - la fin est magnifique où Bobby s'en va, jouant du piano à l'arrière d'un camion de déménagement... - toute une affaire : le type (Bobby) est attachant, sensible, drôle mais ne sait pas exactement (comme nous tou.tes sans doute, parfois...) comment faire pour aimer vivre laisser vivre se faire aimer - des angoisses existentielles - le film est magnifique en tout cas (et les acteurs dirigés formidablement) - Cinq pièces faciles (Five easy Pieces) Bob Rafelson, 1970)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(typique du Nouvel Hollywood) (encore qu'il ne soit pas absolument certain que Bobby soit à ce point blessé - intérieurement sans doute (c'est Jack Nicholson qui tient le rôle) : je veux dire ces cicatrices sont tout intérieures) (on n'en saura pas vraiment plus - sauf qu'il ne sait pas non plus exactement ce qu'il faut faire pour vivre - morceaux magnifiques de Chopin, de Bach et de Mozart : cinq pièces faciles) (on ne sait pas qu'il est pianiste, au début - il s'en va avec sa fiancée (un peu concon mais chanteuse adorable quand même) (Karen Black) parce qu'il ne peut pas la laisser seule, semble-t-il (le père de Bobby va mourir) (pourquoi est-il parti ? pourquoi abandonner son talent de pianiste ?) - le poème express a lieu quand il rencontre Catherine (violoniste) (Susan Anspach, si sensible) et que ce qui doit arriver arrive (probablement) - parfaitement sensible et doux - cruel et violent - même si les sentiments qui vivent dans les personnages sont brutaux (on se bat au début) mais la narration est débridée (un peu comme dans le suivant, The King of Marvin's Garden(1972) (P/E* #791)) laissée à l'appréciation du spectateur pour une part - la fin est magnifique où Bobby s'en va, jouant du piano à l'arrière d'un camion de déménagement... - toute une affaire : le type (Bobby) est attachant, sensible, drôle mais ne sait pas exactement (comme nous tou.tes sans doute, parfois...) comment faire pour aimer vivre laisser vivre se faire aimer - des angoisses existentielles - le film est magnifique en tout cas (et les acteurs dirigés formidablement) - Cinq pièces faciles (Five easy Pieces) Bob Rafelson, 1970)
son index alla se poser sur une autre petite
Enregistrer un commentaire
<< Home