(on a déjà donné avec Georges Cukor et Judy Garland "Une étoile est née" cette merveille (1954) elle est au P/E*756) (il est certain que Norman Maine (James Mason) finit mal, alors qu'ici ça a l'air de bien se passer, mais enfin...) (ça aurait pu coller, comme on dit) mais non - il y a toujours un peu d'étatzuni dans le cinéma (ils s'en sont emparé, même si les autres pays tentent de relever le défi - la machine à rêves est une grosse industrie...) c'est pourquoi il y a là le réalisateur (c'est un poème une ode une déclaration d'amour au cinéma) il y a là l'actrice fétiche (Julie Baker qui joue un rôle interprété par Jacqueline Bisset (tu te rappelles de Bullitt (2 l,2 t)(Peter Yates, 1968) ?) il y a un film dans un film (le titre du film qu'ils tournent "Je vous présente Pamela" t'as qu'à voir.. : "bien sûr" " je vois" oui) (ça se passe aux studios de la Victorine, à Nice, un peu comme pour les Visiteurs du Soir (Marcel Carné, 1942)(j'adore) : une espèce d'hommage au cinéma français aussi, d'abord - le film dans le film on s'en fout, ce qui nous intéresse c'est le film : on tourne, on aperçoit le bazar que peut représenter un tournage, l'organisation, les rôles, les à-côtés, les bouts de ficelle tout autant - une espèce d'abyme comme on en ressent quand on regarde les étoiles - il y a Valentina Cortese, formidablement excessive (extra) - un Ferrand qui dirige (François Truffaut dans le rôle) une musique forcément sublime (due à Georges Delerue, splendide) Pierre William Glenn à l'image... - le gratin des années 70 en France - tu vois comme je ne suis pas chien : Truffaut, j'aime pas trop mais là (encore qu'il soit à l'image) quelque chose qui passe comme le bruissement des étoiles (une merveille, et drôle, et triste, et gaie... comme le cinéma) La Nuit américaine (François Truffaut, 1973)
et tous les vœux du commentateur au jardinier et à ses proches (aka Lulu deuch'nord), à Mauricette et au Chasse-Clou (le fan de JLG du commentaire 1 de ce jour)
Au moins sur ce blog, l'année commence bien. Merci pour ces commentaires roboratifs. Avec un peu de travail, la connaissance et l'amour prendront le dessus.
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
3 Comments:
Anna Karina chez Godard ("Pierrot le Fou", 1965), ou Godard chez elle...
un ocarina dans la mémoire... °/°
(on a déjà donné avec Georges Cukor et Judy Garland "Une étoile est née" cette merveille (1954) elle est au P/E*756) (il est certain que Norman Maine (James Mason) finit mal, alors qu'ici ça a l'air de bien se passer, mais enfin...) (ça aurait pu coller, comme on dit) mais non - il y a toujours un peu d'étatzuni dans le cinéma (ils s'en sont emparé, même si les autres pays tentent de relever le défi - la machine à rêves est une grosse industrie...) c'est pourquoi il y a là le réalisateur (c'est un poème une ode une déclaration d'amour au cinéma) il y a là l'actrice fétiche (Julie Baker qui joue un rôle interprété par Jacqueline Bisset (tu te rappelles de Bullitt (2 l,2 t)(Peter Yates, 1968) ?) il y a un film dans un film (le titre du film qu'ils tournent "Je vous présente Pamela" t'as qu'à voir.. : "bien sûr" " je vois" oui) (ça se passe aux studios de la Victorine, à Nice, un peu comme pour les Visiteurs du Soir (Marcel Carné, 1942)(j'adore) : une espèce d'hommage au cinéma français aussi, d'abord - le film dans le film on s'en fout, ce qui nous intéresse c'est le film : on tourne, on aperçoit le bazar que peut représenter un tournage, l'organisation, les rôles, les à-côtés, les bouts de ficelle tout autant - une espèce d'abyme comme on en ressent quand on regarde les étoiles - il y a Valentina Cortese, formidablement excessive (extra) - un Ferrand qui dirige (François Truffaut dans le rôle) une musique forcément sublime (due à Georges Delerue, splendide) Pierre William Glenn à l'image... - le gratin des années 70 en France - tu vois comme je ne suis pas chien : Truffaut, j'aime pas trop mais là (encore qu'il soit à l'image) quelque chose qui passe comme le bruissement des étoiles (une merveille, et drôle, et triste, et gaie... comme le cinéma) La Nuit américaine (François Truffaut, 1973)
et tous les vœux du commentateur au jardinier et à ses proches (aka Lulu deuch'nord), à Mauricette et au Chasse-Clou (le fan de JLG du commentaire 1 de ce jour)
Au moins sur ce blog, l'année commence bien. Merci pour ces commentaires roboratifs.
Avec un peu de travail, la connaissance et l'amour prendront le dessus.
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