lundi 4 janvier 2021

Poème express n° 816

posted by Lucien Suel at 07:36

3 Comments:

Anonymous Dominique Hasselmann said...

Anna Karina chez Godard ("Pierrot le Fou", 1965), ou Godard chez elle...

un ocarina dans la mémoire... °/°

08:30  
Anonymous Anonyme said...

(on a déjà donné avec Georges Cukor et Judy Garland "Une étoile est née" cette merveille (1954) elle est au P/E*756) (il est certain que Norman Maine (James Mason) finit mal, alors qu'ici ça a l'air de bien se passer, mais enfin...) (ça aurait pu coller, comme on dit) mais non - il y a toujours un peu d'étatzuni dans le cinéma (ils s'en sont emparé, même si les autres pays tentent de relever le défi - la machine à rêves est une grosse industrie...) c'est pourquoi il y a là le réalisateur (c'est un poème une ode une déclaration d'amour au cinéma) il y a là l'actrice fétiche (Julie Baker qui joue un rôle interprété par Jacqueline Bisset (tu te rappelles de Bullitt (2 l,2 t)(Peter Yates, 1968) ?) il y a un film dans un film (le titre du film qu'ils tournent "Je vous présente Pamela" t'as qu'à voir.. : "bien sûr" " je vois" oui) (ça se passe aux studios de la Victorine, à Nice, un peu comme pour les Visiteurs du Soir (Marcel Carné, 1942)(j'adore) : une espèce d'hommage au cinéma français aussi, d'abord - le film dans le film on s'en fout, ce qui nous intéresse c'est le film : on tourne, on aperçoit le bazar que peut représenter un tournage, l'organisation, les rôles, les à-côtés, les bouts de ficelle tout autant - une espèce d'abyme comme on en ressent quand on regarde les étoiles - il y a Valentina Cortese, formidablement excessive (extra) - un Ferrand qui dirige (François Truffaut dans le rôle) une musique forcément sublime (due à Georges Delerue, splendide) Pierre William Glenn à l'image... - le gratin des années 70 en France - tu vois comme je ne suis pas chien : Truffaut, j'aime pas trop mais là (encore qu'il soit à l'image) quelque chose qui passe comme le bruissement des étoiles (une merveille, et drôle, et triste, et gaie... comme le cinéma) La Nuit américaine (François Truffaut, 1973)

et tous les vœux du commentateur au jardinier et à ses proches (aka Lulu deuch'nord), à Mauricette et au Chasse-Clou (le fan de JLG du commentaire 1 de ce jour)

10:02  
Blogger Lucien Suel said...

Au moins sur ce blog, l'année commence bien. Merci pour ces commentaires roboratifs.
Avec un peu de travail, la connaissance et l'amour prendront le dessus.

17:51  

Enregistrer un commentaire

<< Home