vendredi 22 juin 2018

Poème express n° 725

posted by Lucien Suel at 07:41

4 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(ces commentaires ont commencé au P*/E* 625 - un centenaire, dit mon nombril) (aujourd'hui, il est particulièrement coton je dois dire) (le poème, pas mon nombril)(je n'ai pas l'attachement particulier pour David Lynch, mais j'aime ses (trois premiers Eraserhead, 1977 - Elephant man, 1980, un peu moins Dune, 1984 (le livre en revanche, de Frank Herbert,est une merveille)) films quand même, malgré leur nébuleuse tentation de tourner en eau de boudin) (il se peut que l'adulation hystérique dont sont parés ses (très) diverses productions ait en quelque sorte un effet repoussoir) (quoi qu'il en soit, on préfère Rita la brune, désolé pour Betty) c'est Betty qui parle, dans cet appartement dans les verts de la pourriture - une allégorie, certainement, de son psychisme dégradé (l'histoire est assez belle pourtant, bien que je ne sois pas non plus client des amours saphiques) (cette dernière parenthèse avec des mots du marketing publicitaire que j'agonis tout autant) (enfin voici le commentateur partagé entre ce que lui inspire ce centième poème et les films de ce réalisateur qui n'entrent pas dans la catégorie des merveilles - selon lui) (Mulholland Drive, 2001)

08:36  
Anonymous ste said...

Arche-mémoire

14:04  
Anonymous ste said...

Parfois, j'ai un peu honte de ma concision devant les développements grandioses de PCH dont on a l'impression qu'il pourrait nous raconter l'intégralité de l'histoire humaine sans que l'on décolle du canapé.

14:08  
Blogger Lucien Suel said...

En tous cas, ce dialogue entre long et court me va bien.

07:35  

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