(hommage à la palme d'or pour faits de cinéma obtenue cette année par le "solitaire de Rolle" je pense)(l'abstraction du dialogue indique la marche à suivre) ("silence j'écris!" crie Ferdinand) (tandis que l'autre, Marianne, s'ingénie les pieds dans l'eau à répéter "qu'est-ce que je peux faire j'sais pas quoi faire") (on trouvera aussi le regretté Raymond Devos qui nous chantera "est-ce que vous m"aimez ?" en passant sa main droite sur sa main gauche comme ça) (comme ça justement) (ça, eh oui, ne nous rajeunit pas - ou alors si)(et of course la définition du cinéma par le vieux Sam Fuller - jl'adore toujours lui, comme ma grand-mère) (pépite) (magnifique) (Ferdinand c'est Bébel, Marianne Anna Karina, le tout mis en images (Raoul Coutard) sons et scène par Jean Luc Godard) (Pierrot le fou, 1965)
Cher PCH, M'autorisez-vous à vous proposer une unique permutation : à vous le laconique, à moi le prolixe? J'ai en effet peur que Monsieur Suel ne vous pense pas assez hardi pour oser le lapidaire. Tout le meilleur pour vos parties constitutives, en particulier à votre dextre que j'aimerais avoir l'honneur de serrer, ste
ste écoutez je ne vois pas les choses ainsi, je ne veux pas non plus vous blesser ni accorder à ces commentaires une importance trop grande mais n'importe, je décline votre invitation - je fais les choses comme elles me viennent, je ne suis pas un être si sociable et j'ai une méfiance extrêmement vive vis à vis des "nouveaux médias" comme on les nomme... Libre à vous, évidemment, de poser quelque commentaire que vous désirez dans les limites fixées par Lucien. Avec mes excuses pour n'être pas bon camarade (mais tant pis pour moi).
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
5 Comments:
(hommage à la palme d'or pour faits de cinéma obtenue cette année par le "solitaire de Rolle" je pense)(l'abstraction du dialogue indique la marche à suivre) ("silence j'écris!" crie Ferdinand) (tandis que l'autre, Marianne, s'ingénie les pieds dans l'eau à répéter "qu'est-ce que je peux faire j'sais pas quoi faire") (on trouvera aussi le regretté Raymond Devos qui nous chantera "est-ce que vous m"aimez ?" en passant sa main droite sur sa main gauche comme ça) (comme ça justement) (ça, eh oui, ne nous rajeunit pas - ou alors si)(et of course la définition du cinéma par le vieux Sam Fuller - jl'adore toujours lui, comme ma grand-mère) (pépite) (magnifique) (Ferdinand c'est Bébel, Marianne Anna Karina, le tout mis en images (Raoul Coutard) sons et scène par Jean Luc Godard) (Pierrot le fou, 1965)
C'est très joli de faire allons-y
Cher PCH,
M'autorisez-vous à vous proposer une unique permutation : à vous le laconique, à moi le prolixe?
J'ai en effet peur que Monsieur Suel ne vous pense pas assez hardi pour oser le lapidaire.
Tout le meilleur pour vos parties constitutives, en particulier à votre dextre que j'aimerais avoir l'honneur de serrer,
ste
ste écoutez je ne vois pas les choses ainsi, je ne veux pas non plus vous blesser ni accorder à ces commentaires une importance trop grande mais n'importe, je décline votre invitation - je fais les choses comme elles me viennent, je ne suis pas un être si sociable et j'ai une méfiance extrêmement vive vis à vis des "nouveaux médias" comme on les nomme... Libre à vous, évidemment, de poser quelque commentaire que vous désirez dans les limites fixées par Lucien.
Avec mes excuses pour n'être pas bon camarade (mais tant pis pour moi).
Ah mais superbe réponse pétrie de franchise et de caractère, je vous laisse donc l'espace et les parenthèses, à bientôt en chassé-croisé
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