(il y a dans le coin de la pièce, derrière la fenêtre - c'est au sixième sans ascenseur - le lit sur lequel se tient François - il bosse dans une usine, sableur il me semble bien - il y a Valentin qui rapplique, et François qui va lui crier "Tu vas la taire ta gueule ? Tu vas la taire oui ?" mais il ne fait pas froid, alors non) (cette saloperie de Valentin va crever, ah bah...) (merveille : "Le jour se lève" Marcel Carné, 1939, Gabin (bourru) Jules Berry (magique Valentin) Arletty (adorable) - Trauner, Jaubert, Prévert) (celui qui correspond ne vaut pas le déplacement mais tant pis, ce sont deux frères, l'un fabrique un alcool merdique, l'autre n'est pas noeud-noeud, ça vit comme ça peut prolo aussi dans une usine de plâtre ou de chaux dans le fin fond d'une mine danoise ou islandaise, c'est moche, ça schlingue, c'est ça) (Winter Brothers, Hlynur Plamason, 2017)
Le lit était trop petit pour le plafond. Il faisait si froid dans le thermomètre. Son corps était couvert d'ecchymoses tatouées. Il y avait une fenêtre mais la vitre était honteusement givrée.
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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4 Comments:
Le lit était si fenêtre
Baldaquins !
(il y a dans le coin de la pièce, derrière la fenêtre - c'est au sixième sans ascenseur - le lit sur lequel se tient François - il bosse dans une usine, sableur il me semble bien - il y a Valentin qui rapplique, et François qui va lui crier "Tu vas la taire ta gueule ? Tu vas la taire oui ?" mais il ne fait pas froid, alors non) (cette saloperie de Valentin va crever, ah bah...) (merveille : "Le jour se lève" Marcel Carné, 1939, Gabin (bourru) Jules Berry (magique Valentin) Arletty (adorable) - Trauner, Jaubert, Prévert) (celui qui correspond ne vaut pas le déplacement mais tant pis, ce sont deux frères, l'un fabrique un alcool merdique, l'autre n'est pas noeud-noeud, ça vit comme ça peut prolo aussi dans une usine de plâtre ou de chaux dans le fin fond d'une mine danoise ou islandaise, c'est moche, ça schlingue, c'est ça) (Winter Brothers, Hlynur Plamason, 2017)
Le lit était trop petit pour le plafond.
Il faisait si froid dans le thermomètre.
Son corps était couvert d'ecchymoses tatouées.
Il y avait une fenêtre mais la vitre était honteusement givrée.
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