(en vrai, Irène c'est Christiane (Edith Scob : elle était aussi dans "La tête contre les murs", le précédent, une actrice formidable, on l'adore - même dans le "Holy Motors" de Leos Carax (2012) c'est pour dire) lui, c'est son père, il est chirurgien - le plus salaud des salauds, c'est lui - c'est Pierre Brasseur (ça finit mal pour lui, heureusement), mais ça pourrait être Jules Berry - quoiqu'il jouait plutôt des personnages sans culture - ça se passe dans une propriété en banlieue, c'est glauque à souhait, ça sue l'angoisse du début à la fin : c'est une vraie merveille) (d'ailleurs Georges Franju ne déteste pas ce climat : ça n'a rien de fortuit) (image aussi Eugen Shüfftan, c'est celui des Niebelungen (1924) et de Metropolis (1927) de Fritz Lang (période allemande) qui magnifie aussi l'ambiance) (musique Maurice Jarre, extra) (presque toute l'histoire du cinéma qui défile, classique des classiques : Les yeux sans visage (1959)...
J'ai vu ce film "Les yeux sans visage", très jeune, au ciné-club. Un film inoubliable. Pour les images, le visage, justement, d'Edith Scob, et aussi et surtout la bande-son... J'ai encore dans l'oreille les aboiements des chiens.
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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6 Comments:
L'inconnu faisait quelque chose dans Irène.
C'est plausible...
(en vrai, Irène c'est Christiane (Edith Scob : elle était aussi dans "La tête contre les murs", le précédent, une actrice formidable, on l'adore - même dans le "Holy Motors" de Leos Carax (2012) c'est pour dire) lui, c'est son père, il est chirurgien - le plus salaud des salauds, c'est lui - c'est Pierre Brasseur (ça finit mal pour lui, heureusement), mais ça pourrait être Jules Berry - quoiqu'il jouait plutôt des personnages sans culture - ça se passe dans une propriété en banlieue, c'est glauque à souhait, ça sue l'angoisse du début à la fin : c'est une vraie merveille) (d'ailleurs Georges Franju ne déteste pas ce climat : ça n'a rien de fortuit) (image aussi Eugen Shüfftan, c'est celui des Niebelungen (1924) et de Metropolis (1927) de Fritz Lang (période allemande) qui magnifie aussi l'ambiance) (musique Maurice Jarre, extra) (presque toute l'histoire du cinéma qui défile, classique des classiques : Les yeux sans visage (1959)...
J'aime le livre d'Aragon qui porte ce prénom.
Prénom complément d'un nom qui rime avec Aragon.
J'ai vu ce film "Les yeux sans visage", très jeune, au ciné-club. Un film inoubliable. Pour les images, le visage, justement, d'Edith Scob, et aussi et surtout la bande-son... J'ai encore dans l'oreille les aboiements des chiens.
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