mercredi 7 mars 2018

Les fautes de frappes n'en étaient pas

En effet, ces mots frappés de fautes étaient en fait des néologismes pour lesquels un ami lectuer (sic) averti, monsieur B. Maréchal pour ne pas le nommer, officiant sur Twitter à l'adresse @Darkpalmor, nous fournit les définitions, à lire ci-dessous :


Un télévisseur est une variante de la perceuse-visseuse, utilisée par les installateurs de climatiseur dans les appartements munis d’un chien de garde inquiétant.
Un professuer est un casse-pieds professionnel qui vous fait suer plus que de raison.

Un motment est une parole en l’air perdue entre deux strates temporelles, destinée à faire croire que quelqu’un vous a parlé récemment, mais sans que vous puissiez savoir ce qu’on vous a dit.

Une coulure est au collyre ce que la douleur est au délire. C’est clair, non ?

La vio lance était une arme de guerre réservée aux ancêtres, à fonction purement honorifique.

Pasniquer est une traduction approximative de l’interdit freudien, traduction incomplète et bégayante à l’origine : PAPAPASNIQUER.

Doctuer est enseigner des disciplines mortelles pour l’intérêt et la patience des étudiants.
Un atriste est un spécialiste des petits feux de cheminée récalcitrants.

L’artgen est l’abréviation du nom d’un instrument post-moderne servant à générer sans peine des œuvres d’art à base de calembours de forme aléatoire, comme les ironèmes, par exemple..

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posted by Lucien Suel at 08:57

1 Comments:

Anonymous ste said...

Lucien Seul est ze master des poèmes sexprès

09:08  

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