Il pleut ou il fait beau... (32)
Étendue bouche ouverte, rondeur de ses seins dévoilée plus qu'à demi,
bras pendant hors du lit avec en main une dépêche déchirée
où base des lettres de sang s'écoulent en brouillant message,
je la secoue pour être sûr qu'elle respire l'air
de Manacoa, ville de chiens et de caniches à blousons hydrofuges.
Elle a la cloque éventrée et le bébé de grandes canines
avec entre restes du message sanglant qu'il m'aboie.
Lui aussi porte bouclettes et l'Exorciste se rejoue devant moi,
en canin, avec un casting saturé de tout petits chiens frisés,
ils veulent que dieu les baise, assis dans leur siège caricaturé
en dossier de leur nom de roquet, ils arborent du rouge
à babines ; je dis à ma tête c'est du sang,
pas du maquillage, alors qu'une femelle-script s'acharne à griffer
mon corps en mission délicate et mes avants-bras couverts de peau,
elle appelle le monde des chiens à se joindre à elle ;
je me dis là-haut que maintenant ce serait raisonnable de crier
mais je me réveille sous bambous et ses ongles satinés carmin
sont en train de caresser en frôlant intérieur de mes avant-bras
toute la nuit dressés en attente d'imper mastic from Dublin
– et qu'il vienne après avoir plané se fondre en convolant,
s'enfiler en fin de rêve sur mes membres en suspens.
« Tu dormais sur le dos, à l'inverse de l'enfilage !
La méthode opère si pluie chasse de front – pas pour dégainer,
pas quand on défouraille hors poches avec l'averse pour compagnon !
Repense à l'échographe associé à mes ongles vernis qui réveillaient
ta torpeur d'agent en sommeil, et cours vite au cabinet. »
bras pendant hors du lit avec en main une dépêche déchirée
où base des lettres de sang s'écoulent en brouillant message,
je la secoue pour être sûr qu'elle respire l'air
de Manacoa, ville de chiens et de caniches à blousons hydrofuges.
Elle a la cloque éventrée et le bébé de grandes canines
avec entre restes du message sanglant qu'il m'aboie.
Lui aussi porte bouclettes et l'Exorciste se rejoue devant moi,
en canin, avec un casting saturé de tout petits chiens frisés,
ils veulent que dieu les baise, assis dans leur siège caricaturé
en dossier de leur nom de roquet, ils arborent du rouge
à babines ; je dis à ma tête c'est du sang,
pas du maquillage, alors qu'une femelle-script s'acharne à griffer
mon corps en mission délicate et mes avants-bras couverts de peau,
elle appelle le monde des chiens à se joindre à elle ;
je me dis là-haut que maintenant ce serait raisonnable de crier
mais je me réveille sous bambous et ses ongles satinés carmin
sont en train de caresser en frôlant intérieur de mes avant-bras
toute la nuit dressés en attente d'imper mastic from Dublin
– et qu'il vienne après avoir plané se fondre en convolant,
s'enfiler en fin de rêve sur mes membres en suspens.
« Tu dormais sur le dos, à l'inverse de l'enfilage !
La méthode opère si pluie chasse de front – pas pour dégainer,
pas quand on défouraille hors poches avec l'averse pour compagnon !
Repense à l'échographe associé à mes ongles vernis qui réveillaient
ta torpeur d'agent en sommeil, et cours vite au cabinet. »
à suivre...
« Il pleut ou il fait beau tout le temps au début », un feuilleton de St. Batsal, (le pôle qu'elle nie)
ce texte n'est pas tiré d'un vrai fait divers, de même que toute ressemblance, y compris en URSS.
Libellés : Feuilleton, Il pleut ou il fait beau, Poésie, St. Batsal
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