Sombre Ducasse (version justifiée) 16
ici
maintenant je commence l'écriture
rédaction
un hebdomadaire trimestriel
quotidien
deux
mains on phrase gratis
détruire
brûler arrachons cochons qui
chient
le soufre usine de peste death
factory
enfoncer dans la foule un pus
sanglant
des foetus au trou des reins
poupée
bleu-Träkl pleurant fucke dans
une
poitrine éclair vent maigre froid
déchirant
l'anus de la terre sur leur
écharpe
tricolore miracles d'étoile ô
star
screwer je l'aime Juif caucasien
aimable
vieux en français super hyper
correct
usant de l'adjectif dérisoire
pour
qualifier le prix des putains du
quartier
Galata le réservé d'Istanbul
c'est
une nuit de bière orangée et CG
peut
pas dormir bourrant ce manche de
pioche
oui dans la rectitude analogue
distendue
du chef d'état-major encore
qui
est mieux que de crier oui ou non
rien
n'est prévu tout est permis dans
les
enclos techniques tout était vrai
rien
n'était permis ouvrez-moi polype
le
toit ouvert de la maison se laisse
pénétrer
dans le soleil les enfants y
jouissent
car madame Vénus au pudding
shop
déclame encore les textes sacrés
avec
son tremblement affecté en gorge
ces
sons ouïs ce sera trop tard alors
vous
vous en rendrez compte déjà avec
la
crainte de manquer le commencement
vite
de la faim qui arrive pour elles
les
administrantes crapules voici les
choses
qui font rire laisse le fumier
aux
enfants si tu ne peux pas dévorer
à
plein groin cow-boy d'opérette trou
sourire
une lèpre atomique rampe hors
des
maisons de retraite pompant l'eau
lustrale
et nous disons oui aux porcs
culs
pourris d'aménageurs du pays des
territoires
spirituels & centralistes
merdiques
& charognes écrivassières à
rire
dans le soufre nuageux avec elle
elle
explosera ok ça doit finir baoum
Libellés : Lucien Suel, sombre ducasse, Vers justifiés
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