(non mais c'est vrai qu'elle a été blessée) (d'ailleurs il la soigne - enfin on fait ce qu'on peut - il passe une serviette éponge sur sa plaie) (elle, c'est Claire - l'héritière) (lui c'est Louis - il est là un peu par hasard, il passe sur la route, dans sa Jaguar blanche) (l'année précédente, elle a tourné dans un film à scandale - une histoire sade-maze avec un nazi (interprété par Dirk Bogarde, peut-être, mais nazi - Portier de nuit Liliana Cavanni, 1974) elle a 29 ans (le réalisateur ici en a 31) elle virevolte court bondit - magnifique - elle joue un peu du couteau aussi, il faut le dire - en vrai le film n'est pas mal (je viens de le revoir) empreint de pas mal de tics disons de Patrice Chéreau (le réal) (dans le genre les mœurs assez troubles, la perversion des sentiments, l'amour sans doute mais à quel prix etc...) mais l'ambiance est magnifique, quelque chose de terrible et d'étrange (sans doute trop de fumigènes mais enfin) après elle n'est vraiment pas toute seule - Louis c'est Bruno Cremer, il y a madame Vamoz (magnifique Simone Signoret), la mauvaise mère (c'est une tante mais tant pis) Edwige Feuillère qui envoie grâââve (formidable - je crois bien que c'est son dernier rôle au cinéma, je l'adore, elle) - enfin un beau film, policier si tu veux (il n'y a pas de policier dans l'histoire il me semble) adapté d'un roman au même titre de James Hadley Chase - elle c'est Charlotte Rampling légère trouble enchantée touchante, fille de l'orchidée - La Chair de l'orchidée (Patrice Chéreau, 1975) (image Pierre Lhomme quand même - magnifique) (décor Richard Peduzzi, ce qui n'étonne pas) (on peut aussi signaler pour Charlotte Rampling, qu'elle fait une apparition (tout aussi magique) dans Point Limite Zéro (Richard Sarafian, 1971 - P/E*920)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
MONTREUIL SUR MER, le 21 mars, lecture-performance à préciser
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
METZ, du 14 au 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde sur "Le Vertige" en compagnie de Fanny Chiarello
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence au Salon du Livre, rencontres poétiques, lecture publique de "Rivière
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
(non mais c'est vrai qu'elle a été blessée) (d'ailleurs il la soigne - enfin on fait ce qu'on peut - il passe une serviette éponge sur sa plaie) (elle, c'est Claire - l'héritière) (lui c'est Louis - il est là un peu par hasard, il passe sur la route, dans sa Jaguar blanche) (l'année précédente, elle a tourné dans un film à scandale - une histoire sade-maze avec un nazi (interprété par Dirk Bogarde, peut-être, mais nazi - Portier de nuit Liliana Cavanni, 1974) elle a 29 ans (le réalisateur ici en a 31) elle virevolte court bondit - magnifique - elle joue un peu du couteau aussi, il faut le dire - en vrai le film n'est pas mal (je viens de le revoir) empreint de pas mal de tics disons de Patrice Chéreau (le réal) (dans le genre les mœurs assez troubles, la perversion des sentiments, l'amour sans doute mais à quel prix etc...) mais l'ambiance est magnifique, quelque chose de terrible et d'étrange (sans doute trop de fumigènes mais enfin) après elle n'est vraiment pas toute seule - Louis c'est Bruno Cremer, il y a madame Vamoz (magnifique Simone Signoret), la mauvaise mère (c'est une tante mais tant pis) Edwige Feuillère qui envoie grâââve (formidable - je crois bien que c'est son dernier rôle au cinéma, je l'adore, elle) - enfin un beau film, policier si tu veux (il n'y a pas de policier dans l'histoire il me semble) adapté d'un roman au même titre de James Hadley Chase - elle c'est Charlotte Rampling légère trouble enchantée touchante, fille de l'orchidée - La Chair de l'orchidée (Patrice Chéreau, 1975) (image Pierre Lhomme quand même - magnifique) (décor Richard Peduzzi, ce qui n'étonne pas) (on peut aussi signaler pour Charlotte Rampling, qu'elle fait une apparition (tout aussi magique) dans Point Limite Zéro (Richard Sarafian, 1971 - P/E*920)
la réalité c'est le choc
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