lundi 17 septembre 2007

Opal Louis Nations : Savoir-Vivre (3/4)

LE SAVOIR-VIVRE (MANGER, MOUCHER, SOUFFLER, ...)
par OPAL LOUIS NATIONS
Quand un enfant/des enfants est/sont assis, s'il se trouve un napperon/une serviette en face de lui/d'eux, il/ils le/la prendra/prendront et le/la placera/placeront sur le bras gauche ou l'épaule, puis il/ils placera/placeront le pain à gauche et le couteau à droite, comme le verre, à condition qu'il/ils souhaite/souhaitent le laisser sur la table, et qu'il puisse y être laissé sans inconvénient pour personne, car il peut arriver que le verre ne puisse être laissé sur la table ou placé à droite de l'enfant/des enfants sans être dans le passage de quelqu'un/d'une personne.

S'il y a des sauces, l'enfant/les enfants doit/doivent tremper convenablement sans retourner sa/leur nourriture après avoir trempé un côté.

Il est absolument indispensable d'apprendre très tôt à un enfant/des enfants à découper un gigot de mouton/une perdrix/un lapin.

II est sûrement utile en cas de vent, de supprimer le sentiment de gêne, de manière à apaiser votre corps ou, suivant l'avis de tous les médecins, de serrer les fesses en agissant selon les prescriptions contenues dans les épigrammes d'Aethon, même s'il avait bien soin de ne pas péter avec explosion dans les lieux sacrés.
Aethon priait Zeus, avec les fesses serrées/compressées, car le son du pet est particulièrement horrible pour ceux qui se tiennent dans un endroit élevé/très haut.
"On devra rendre le sacrifice/les sacrifices avec les fesses fermement serrées/compressées ensemble. "

En France, au 16ème siècle, rapporte Monteil, les gens du peuple comme partout avaient l'habitude de se moucher sans mouchoir, mais parmi la bourgeoisie, c'était la coutume habituelle d'utiliser sa manche ; il n'y avait que l'homme/les hommes opulent/opulents qui utilisait/utilisaient un mouchoir et ne se mouchait/mouchaient pas sur le bras/le poignet.

C'est réellement une chose sale/dégoûtante quand un enfant/des enfants offre/offrent à quelqu'un/une personne quelque chose/n’importe quoi qu'il a/qu'ils ont rongé, ou quelque chose qu'il/qu'ils dédaigne/dédaignent de manger lui-même/eux-mêmes, à moins que ce ne soit à sa/leur bonne.

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posted by Lucien Suel at 08:57

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

A la bonne, effectivement, on peut.

09:14  

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