(une sale histoire) (non, mais pas seulement parce que le réalisateur est poursuivi pour des faits établis en 1977) (pas seulement parce qu'il fuit, depuis des décennies, disons ses responsabilités) (mais entrer dans ces turpitudes est inutile - ce serait peut-être le lieu, mais non - n'en pas parler serait désobligeant) en tout cas il y a cette décapotable - elle me fait souvenir de cette voiture (une berline) où gît Chantal Martinaud (aka Romy Schneider) dans une rue, devant un commissariat, à Rouen (en 1981) (P/E* 664bis/814bis) (Claude Miller, Garde à vue : magnifique) (Lino...) (on sait, là, ce que fait la police - Guy Marchand, parfait)- c'est le même dénouement si tu veux voir - il y a aussi là le ressort de l'inceste - tournage en 1973 : Sharon Tate (l'ex-femme du réal) est morte assassinée en août 69, voilà 4 ans : elle portait leur enfant...) (l'histoire la réalité la fiction...) - ici dans le poème, elle c'est Evelyn Mulwray (premier rôle, refusé par Jane Fonda dit-on, tenu formidablement par Faye Dunaway (jl'adore); son père, Noah Cross, aime les oranges; et l'eau - beaucoup : c'est pourquoi il est nécessaire (et probablement écrit sur les tables de sa loi) que ce soit lui, et lui seul, qui les produise (ce type est un immonde salaud et John Huston (qui l'interprète) s'en donne à cœur joie) - le héros, c'est Jack Gittes (il s'appelle Jack comme dans la vie, et comme dans cette autre merveille du cinéma US Shining (Stanley, 80) (P/E*791)) (il y a des jours où je me dis que le cinéma, ce n'est qu'un seul et unique film qui continue et continue encore) Jack ici est détective, il enquête parce que le mari d'Evelyn est soupçonné d'adultère - passons - la police est vendue, la mafia règne, les voyous aussi et Jack l'apprendra à ses dépends - ça va mal, et ça dure... et ça se termine, sur ce trottoir, la décapotable, là, les passants horrifiés... Chinatown (Roman Polanski,1974)(à l'image Stanley Cortez et John Alonzo) (et la musique de Jerry Goldsmith) (oscar 75 du meilleur scénario: Robert Towne (entre des dizaines d'autres, Bonnie and Clyde par exemple... (Alan Parker, P/E*714)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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(une sale histoire) (non, mais pas seulement parce que le réalisateur est poursuivi pour des faits établis en 1977) (pas seulement parce qu'il fuit, depuis des décennies, disons ses responsabilités) (mais entrer dans ces turpitudes est inutile - ce serait peut-être le lieu, mais non - n'en pas parler serait désobligeant) en tout cas il y a cette décapotable - elle me fait souvenir de cette voiture (une berline) où gît Chantal Martinaud (aka Romy Schneider) dans une rue, devant un commissariat, à Rouen (en 1981) (P/E* 664bis/814bis) (Claude Miller, Garde à vue : magnifique) (Lino...) (on sait, là, ce que fait la police - Guy Marchand, parfait)- c'est le même dénouement si tu veux voir - il y a aussi là le ressort de l'inceste - tournage en 1973 : Sharon Tate (l'ex-femme du réal) est morte assassinée en août 69, voilà 4 ans : elle portait leur enfant...) (l'histoire la réalité la fiction...) - ici dans le poème, elle c'est Evelyn Mulwray (premier rôle, refusé par Jane Fonda dit-on, tenu formidablement par Faye Dunaway (jl'adore); son père, Noah Cross, aime les oranges; et l'eau - beaucoup : c'est pourquoi il est nécessaire (et probablement écrit sur les tables de sa loi) que ce soit lui, et lui seul, qui les produise (ce type est un immonde salaud et John Huston (qui l'interprète) s'en donne à cœur joie) - le héros, c'est Jack Gittes (il s'appelle Jack comme dans la vie, et comme dans cette autre merveille du cinéma US Shining (Stanley, 80) (P/E*791)) (il y a des jours où je me dis que le cinéma, ce n'est qu'un seul et unique film qui continue et continue encore) Jack ici est détective, il enquête parce que le mari d'Evelyn est soupçonné d'adultère - passons - la police est vendue, la mafia règne, les voyous aussi et Jack l'apprendra à ses dépends - ça va mal, et ça dure... et ça se termine, sur ce trottoir, la décapotable, là, les passants horrifiés... Chinatown (Roman Polanski,1974)(à l'image Stanley Cortez et John Alonzo) (et la musique de Jerry Goldsmith) (oscar 75 du meilleur scénario: Robert Towne (entre des dizaines d'autres, Bonnie and Clyde par exemple... (Alan Parker, P/E*714)
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