(il y a cette chanson que j'aime tant de Claude Nougaro - vraiment son "et chacun est rentré chez son automobile" formidable, ou son "la Seine de nouveau ruisselle d'eau bénite")("j'avale tes quartiers aux couleurs de pigeon/intelligence blanche et grise religion") (magnifique) si, on la garde - il n'y a pas que le cinéma dans la vie - cette poésie ("avec ma belle amie quand nous dansons ensemble/ est-ce nous qui dansons ou la terre qui tremble ") (dommage pour la musique, jazzie balancée tenue rythmée- l'orgue complice d'Eddy Louiss et ses arrangements...) ("vers mon ciel du dedans j'ai replongé ma route...") il faudrait toute la citer ("là-bas brille la paix, la rencontre des pôles/ et l'épée du printemps qui sacre notre épaule") (quelle merveille) "gazouillez les pinsons/ à soulever le jours / et nous autres grinçons/ pont-levis de l'amour"... avoue quand même - Paris Mai, Claude Nougaro, 1968)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
3 Comments:
je l'aimais mais jamais mais parfois mais
(il y a cette chanson que j'aime tant de Claude Nougaro - vraiment son "et chacun est rentré chez son automobile" formidable, ou son "la Seine de nouveau ruisselle d'eau bénite")("j'avale tes quartiers aux couleurs de pigeon/intelligence blanche et grise religion") (magnifique) si, on la garde - il n'y a pas que le cinéma dans la vie - cette poésie ("avec ma belle amie quand nous dansons ensemble/ est-ce nous qui dansons ou la terre qui tremble ") (dommage pour la musique, jazzie balancée tenue rythmée- l'orgue complice d'Eddy Louiss et ses arrangements...) ("vers mon ciel du dedans j'ai replongé ma route...") il faudrait toute la citer ("là-bas brille la paix, la rencontre des pôles/ et l'épée du printemps qui sacre notre épaule") (quelle merveille) "gazouillez les pinsons/ à soulever le jours / et nous autres grinçons/ pont-levis de l'amour"... avoue quand même - Paris Mai, Claude Nougaro, 1968)
Mai au pluriel ! Oui
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