(ça m'a l'air "gore" cette affaire-là) (où poubelle rime par antiphrase avec cruel, ce "petit corps" là (je vais l'oublier), cette ambiance moite tropicale certainement) (il y a bien la Nuit du démon (en français Rendez-vous avec la peur) (!) (Jacques Tourneur, 1957) mais l'ambiance n'y est pas) (c'est quand même un film qui hérisse...) (magnifique) c'est plus ici cette histoire de dictature : le peuple assassine le dictateur Vargas, à sa place vient un homme aux idées plus démocratiques peut-être (Ramon Vasquez - c'est aussi une espèce d'histoire d'amour (mais avec ce réalisateur-là, l'amour (s'il est une force que rien ne contrerait) a toujours quelque chose d'assez dévoyé - ça n'a rien à voir mais c'est quand même le dernier film du premier rôle (Gérard Philipe qui interprète donc Ramon, il est l'amant de la femme du dictateur tué - la femme, jouée par Maria Felix (d'un érotisme flamboyant, peut-être, mais objet plutôt que sujet surtout) (sans doute aussi cette manière de voir, ici, est-elle très contemporaine : il y a cinquante ans, la femme était plus couramment objet et ce rôle plus facilement accepté...) (on pourrait ajouter que les scènes de corrida ne parviendraient pas, aujourd'hui, à passer le mur de l'idéologie du moment...), elle est aussi donc le centre des convoitises d'un traître (Jean Servais, qui s'est presque fait une image de ce genre de rôle) - enfin, cette histoire-là, ce film-là, dans cette ambiance-là : je crois que le revoir aujourd'hui porterait quelque déception - la réalisation, et le scénario (les deux amants deviennent, par la force des choses (cette force des choses qu'ils abhorrent) des criminels) en font (en noir et blanc) un marqueur assez signifiant de l'époque - La fièvre monte à El Pao (titre original Los ambiciosos), le film est tourné au Mexique) Luis Buñuel, 1959) (je suis un peu en retard ce commentaire paraît l'année suivant de la publication P/E*) (avec mes excuses,mais aussi par le fait, mes vœux à vous, à toi, chaleureux et sincères)
Ce P/E est donc à cheval sur deux années. C'est bien. Merci pour tes vœux chaleureux comme la fièvre qui monte... Où ça ? Bonne année aux commentateurs de ce blog, professionnels ou amateurs ! On devrait atteindre le n°1000 fin novembre-début décembre 2022
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
3 Comments:
à moitié assez grand et moite
(ça m'a l'air "gore" cette affaire-là) (où poubelle rime par antiphrase avec cruel, ce "petit corps" là (je vais l'oublier), cette ambiance moite tropicale certainement) (il y a bien la Nuit du démon (en français Rendez-vous avec la peur) (!) (Jacques Tourneur, 1957) mais l'ambiance n'y est pas) (c'est quand même un film qui hérisse...) (magnifique) c'est plus ici cette histoire de dictature : le peuple assassine le dictateur Vargas, à sa place vient un homme aux idées plus démocratiques peut-être (Ramon Vasquez - c'est aussi une espèce d'histoire d'amour (mais avec ce réalisateur-là, l'amour (s'il est une force que rien ne contrerait) a toujours quelque chose d'assez dévoyé - ça n'a rien à voir mais c'est quand même le dernier film du premier rôle (Gérard Philipe qui interprète donc Ramon, il est l'amant de la femme du dictateur tué - la femme, jouée par Maria Felix (d'un érotisme flamboyant, peut-être, mais objet plutôt que sujet surtout) (sans doute aussi cette manière de voir, ici, est-elle très contemporaine : il y a cinquante ans, la femme était plus couramment objet et ce rôle plus facilement accepté...) (on pourrait ajouter que les scènes de corrida ne parviendraient pas, aujourd'hui, à passer le mur de l'idéologie du moment...), elle est aussi donc le centre des convoitises d'un traître (Jean Servais, qui s'est presque fait une image de ce genre de rôle) - enfin, cette histoire-là, ce film-là, dans cette ambiance-là : je crois que le revoir aujourd'hui porterait quelque déception - la réalisation, et le scénario (les deux amants deviennent, par la force des choses (cette force des choses qu'ils abhorrent) des criminels) en font (en noir et blanc) un marqueur assez signifiant de l'époque - La fièvre monte à El Pao (titre original Los ambiciosos), le film est tourné au Mexique) Luis Buñuel, 1959) (je suis un peu en retard ce commentaire paraît l'année suivant de la publication P/E*) (avec mes excuses,mais aussi par le fait, mes vœux à vous, à toi, chaleureux et sincères)
Ce P/E est donc à cheval sur deux années. C'est bien.
Merci pour tes vœux chaleureux comme la fièvre qui monte... Où ça ?
Bonne année aux commentateurs de ce blog, professionnels ou amateurs !
On devrait atteindre le n°1000 fin novembre-début décembre 2022
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