lui, c'est son frère - elle, premier rôle (Marguerita Buy, magnifique), réalise un film avec en premier rôle un acteur emmerdant au possible (ce qui n'est pas rare - nombril atrophié ego surdimensionné prétention outrée) (John Turturro dans le rôle : assez facilement) - et leur mère meurt doucement - Margherita a une fille; leur mère a été professeur de latin, la fille de Margherita (Livia) n'y réussit guère - les choses avancent - c'est une progression comme un fleuve, tu sais quand les parents meurent il y a quelque chose qui aboutit, chez les enfants - quelque chose qui les rend humains, peut-être, ou qui leur indiquent que désormais, cette route... inéluctable - il y a quelque chose comme ça, qui pèse probablement des tonnes, en effet - ce qui est formidable, dans ce film-là (mais ce réalisateur-là est l'un des contemporains les plus attachants et merveilleux aussi bien) ce qu'il y a de bien, c'est qu'il n'a pas le premier rôle - il est d'une gentillesse avec sa sœur... - et avec leur mère tout autant - magnifique : des émotions qui parlent à tout le monde - Ada la mère (Giulia Lazzarini) tellement proche - mais toutes les actrices, les acteurs, sont formidablement dirigés - Mia Madre (Nanni Moretti, 2015) (une merveille)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
5 Comments:
Il se rendit directement à autrefois
mais il n'y y trouva pas de sourire
lui, c'est son frère - elle, premier rôle (Marguerita Buy, magnifique), réalise un film avec en premier rôle un acteur emmerdant au possible (ce qui n'est pas rare - nombril atrophié ego surdimensionné prétention outrée) (John Turturro dans le rôle : assez facilement) - et leur mère meurt doucement - Margherita a une fille; leur mère a été professeur de latin, la fille de Margherita (Livia) n'y réussit guère - les choses avancent - c'est une progression comme un fleuve, tu sais quand les parents meurent il y a quelque chose qui aboutit, chez les enfants - quelque chose qui les rend humains, peut-être, ou qui leur indiquent que désormais, cette route... inéluctable - il y a quelque chose comme ça, qui pèse probablement des tonnes, en effet - ce qui est formidable, dans ce film-là (mais ce réalisateur-là est l'un des contemporains les plus attachants et merveilleux aussi bien) ce qu'il y a de bien, c'est qu'il n'a pas le premier rôle - il est d'une gentillesse avec sa sœur... - et avec leur mère tout autant - magnifique : des émotions qui parlent à tout le monde - Ada la mère (Giulia Lazzarini) tellement proche - mais toutes les actrices, les acteurs, sont formidablement dirigés - Mia Madre (Nanni Moretti, 2015) (une merveille)
Quel beau trio au Silo !
Merci merci merci
Tristement beau.
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