lundi 3 janvier 2022

Poème express n° 906

posted by Lucien Suel at 07:10

2 Comments:

Anonymous ste said...

l'infirmière de choc savait ombrer ses traits

07:57  
Anonymous Anonyme said...

(c'est la suite de Mia Madre (Nanni Moretti, 2015)(P/E*904)) avoue (mais ça me dit autre chose) plutôt quelque chose qui n'est pas dans le film (l'écran de l'infirmière paraît anachronique) mais c'est ça quand même, vraiment : lui c'est le docteur Cukrowicz (Monty Clift), celle qu'il vient voir, sous sédation, c'est madame Venable (mon actrice préférée, pratiquement): elle a perdu la tête, elle est devenue même complètement cinglée (c'est pour ça, la sédation) (remarque elle l'était déjà pas mal) (plutôt plus que peu) : son fils, Sebastian a disparu, voilà quelques mois (l'été dernier, oui, c'est ça) dans des circonstances extrêmement troubles (jte préviens c'est vraiment du vrai scénario...- d'aprés Tenessee Williams (lapièce), déjà, scénariste aussi et en co-scénariste, Gore Vidal) (il y a pas mal de libido, perverse certes, dans les tenants et les aboutissants) et ce Cukrowicz, là, a fait émerger lors de la presque dernière scène du film (magnifique) la vérité : cathartique peut-être (surtout pour Catherine - jouée par Liz Taylor, jt'en parle même pas) et nous, pauvres publics, mais pour elle (c'est Katharine Hepburn...) c'est la fin, très probablement (Cukrowicz vient voir mais j'ai bien peur que ce ne soit inutile) (que dieu la protège) une merveille formidable - Soudain, l'été dernier (Joseph Mankiewicz, 1959)(production Sam Spiegel pour la Columbia) (chef d'œuvre)

14:46  

Enregistrer un commentaire

<< Home