(il y a de la boxe là-dessous, mais comme j'ai déjà donné dans le genre, naturellement c'est parti vers la science fiction (attention quand même: c'est du gros c'est du lourd et ça tache un petit peu) (adapté, certes, d'une nouvelle de Philip Kindred Dick - on a eu droit aussi, peut-être en moins lourd, à l'adaptation de "les androïdes rêvent-ils de moutons électriques" transformé (non traduit) en Blade Runner) (Ridley Scott, 1982) (P/E*753) certes - ici on est en 2054 semble-t-il (j'aurai cent un ans) le flic (dans la vraie vie (DL2V) il est scientologue, le Cruise, c'est pourquoi c'est aussi du gros, du lourd et et du qui tache) (le goût amer dans la bouche, sans doute) il cherche et est recherché (tu me diras on s'en fout DL2V, John Travolta aussi...) (ouais, enfin oui justement) va commettre bientôt un meurtre, on doit l'arrêter avant - il y a trois personnages qui connaissent et lisent le futur (les precogs) il y a des yeux dans des frigos, il y a de la police partout - et donc de la justice nulle part - mais connaître ce que les gens ont dans la tête (cette hydre toujours recherchée jamais trouvée tsais) ça va avec la narration, un vrai moteur, le flic s'enfuit et bon, après il y a Max von Sydow (l'un de mes favoris), il y a Colin Farrell qu'on ne déteste pas (malgré ses gros sourcils)(pas d'attaque ad hominem hein) (la photo comme toujours pratiquement due à Janusz Kaminski) (musique John Williams celui des Star Wars - ça ne s'invente guère) (du gros, du lourd) on pré-voit on reconnaît on annihile - deux heures et demie de poursuites (trente six heures dans le film), de suspens aussi... Minority Report (Steven Spielberg, 2002)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
5 Comments:
(il y a de la boxe là-dessous, mais comme j'ai déjà donné dans le genre, naturellement c'est parti vers la science fiction (attention quand même: c'est du gros c'est du lourd et ça tache un petit peu) (adapté, certes, d'une nouvelle de Philip Kindred Dick - on a eu droit aussi, peut-être en moins lourd, à l'adaptation de "les androïdes rêvent-ils de moutons électriques" transformé (non traduit) en Blade Runner) (Ridley Scott, 1982) (P/E*753) certes - ici on est en 2054 semble-t-il (j'aurai cent un ans) le flic (dans la vraie vie (DL2V) il est scientologue, le Cruise, c'est pourquoi c'est aussi du gros, du lourd et et du qui tache) (le goût amer dans la bouche, sans doute) il cherche et est recherché (tu me diras on s'en fout DL2V, John Travolta aussi...) (ouais, enfin oui justement) va commettre bientôt un meurtre, on doit l'arrêter avant - il y a trois personnages qui connaissent et lisent le futur (les precogs) il y a des yeux dans des frigos, il y a de la police partout - et donc de la justice nulle part - mais connaître ce que les gens ont dans la tête (cette hydre toujours recherchée jamais trouvée tsais) ça va avec la narration, un vrai moteur, le flic s'enfuit et bon, après il y a Max von Sydow (l'un de mes favoris), il y a Colin Farrell qu'on ne déteste pas (malgré ses gros sourcils)(pas d'attaque ad hominem hein) (la photo comme toujours pratiquement due à Janusz Kaminski) (musique John Williams celui des Star Wars - ça ne s'invente guère) (du gros, du lourd) on pré-voit on reconnaît on annihile - deux heures et demie de poursuites (trente six heures dans le film), de suspens aussi... Minority Report (Steven Spielberg, 2002)
Un de mes films préférés (fan de PK Dick, je suis)
neutraliser le monde dans son cerveau
Joli, Stéphane, et tellement vrai !
Mais, merci, cher Lucien!
Enregistrer un commentaire
<< Home