jeudi 11 novembre 2021

Poème express n° 891

posted by Lucien Suel at 07:31

2 Comments:

Anonymous ste said...

posée sur l'odeur des bottes

12:53  
Anonymous Anonyme said...

il y avait quelque chose comme ça dans le film (à part les bottes), comme de la magie - c'était l'histoire d'un couturier, haute-couture je me souviens du début sa voiture dans la nuit, les phares qui éclairent la campagne anglaise - magnifique (l'image est due au réalisateur - il cumule les postes le bougre) une histoire d'amour contrarié comme il se doit peut-être... (on l'aime encore assez, ce cinéaste, surtout pour son "There will be blood" (2007) (extra sur l'histoire des États-Unis - majeur - si tu ne l'as pas vu, n'hésite plus : il est extra) (avec le même premier rôle, Daniel Day-Lewis, formidable)- les vêtements de la famille royale (d'Angleterre...) dansels années 50 - mais les vêtements, les costumes (le costumier, Mark Bridges (oscar du meilleur costume 2020 pour "Joker" (Todd Philips, 2019) quand même aussi (Hollywood pur et dur, peut-être, mais avec talent) (ce qui n'est pas particulièrement corrélé entendons-nous, hein), fait les costumes de tous les films de Paul Thomas Anderson ( (c'est de lui dont il s'agit)) - mais surtout cette espèce de sort qui faisait que les robes avaient toujours quelque chose (c'est la thèse, un peu du film) un charme, exactement : ce petit quelque chose que le couturier coud à l'intérieur des plis (invisible, toujours, et toujours toujours présent...) (Reynolds Woodcock : l'interprétation est magnifique, mais DDL a annoncé que ce serait son dernier rôle- et là, on est assez marris parce que c'est un acteur extraordinaire (il est de 57)- on ne va pas mettre cette phrase au passé...) (mais quelle pitié...!) - des réserves peut-être sur un scénario un peu concon, si tu veux - mais un beau film quand même Phantom Thread ("Le fil caché" chez nos cousins du Québec) (Paul Thomas Anderson, 2017)

14:33  

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