(c'est certain,il n'y a pas de doute possible on parle de Shining - impossible mais ça ne fait rien : c'est le début du film) (déjà le P/E*791 alors c'est niet) mais en réalité, le dialogue qu'on entend au P/E* a lieu avant le tournage : il y a une fête, les fiançailles de la fille du châtelain (la fin indique la vraie réalité du couple de tout jeunes gens qui arrive dans le château : fantastique... (elle, c'est Dominique; lui, c'est Gilles) ils arrivent un soir, leur mission : semer le bazar (en se servant de l'amour, évidemment) le dialogue qu'on entend ici, c'est au moment où le réalisateur (ou son assistant Michelangelo Antonioni) Marcel Carné - alias "le môme" dixit Gabin qui n'est pas de la partie, là (il est engagé aux Etats-Unis, on ne peut pas non plus tout faire...) le réalisateur donc va employer Simone Signoret pour un rôle de silhouette (j'invente, mais qu'est-ce que ça peut faire ?) (elle ne s'appelle plus Simone Kaminker, elle vient de Saint-Paul-de-Vence, elle est amoureuse de Montand, enfin tout le kit)(elle obtient le rôle) (on a du mal à la reconnaître en vrai - comme Alain Resnais par exemple qui fait de la figuration, ou encore Jean-Pierre Mocky (tout môme) - ou même François Chaumette (je l'adore aussi celui-là) enfin c'est pendant la deuxième guerre mondiale (on est en 42) ça se tourne à Nice aux studios de la Victorine) bientôt on entendra le tonnerre (bientôt Il apparaîtra mais ne parviendra pas à ses fins) sous les traits de Jules Berry - (son "vrai"nom" : Marie-Louis-Jules Paufichet)l'un de mes préférés de l'époque) Dominique, magnifique et fantastique (comme Alain Cuny est Gilles) c'est Arletty,ce sont deux envoyés de l'au-delà (noir comme l'enfer) mais l'amour restera plus fort (c'est bien) (ça va) Les Visiteurs du soir (Marcel Carné, 1942)(entre autres : au scénario Prévert Jacques (en silhouette aussi); à la musique Kosma Joseph; aux décors Trauner Alexandre) classiquissime - on ne peut pas faire la part du vrai et de l'imaginé, de la guerre ou du cinéma... (fantastique !)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
3 Comments:
j'ai bien peur de ne pas avoir le temps fantastique
(c'est certain,il n'y a pas de doute possible on parle de Shining - impossible mais ça ne fait rien : c'est le début du film) (déjà le P/E*791 alors c'est niet) mais en réalité, le dialogue qu'on entend au P/E* a lieu avant le tournage : il y a une fête, les fiançailles de la fille du châtelain (la fin indique la vraie réalité du couple de tout jeunes gens qui arrive dans le château : fantastique... (elle, c'est Dominique; lui, c'est Gilles) ils arrivent un soir, leur mission : semer le bazar (en se servant de l'amour, évidemment) le dialogue qu'on entend ici, c'est au moment où le réalisateur (ou son assistant Michelangelo Antonioni) Marcel Carné - alias "le môme" dixit Gabin qui n'est pas de la partie, là (il est engagé aux Etats-Unis, on ne peut pas non plus tout faire...) le réalisateur donc va employer Simone Signoret pour un rôle de silhouette (j'invente, mais qu'est-ce que ça peut faire ?) (elle ne s'appelle plus Simone Kaminker, elle vient de Saint-Paul-de-Vence, elle est amoureuse de Montand, enfin tout le kit)(elle obtient le rôle) (on a du mal à la reconnaître en vrai - comme Alain Resnais par exemple qui fait de la figuration, ou encore Jean-Pierre Mocky (tout môme) - ou même François Chaumette (je l'adore aussi celui-là) enfin c'est pendant la deuxième guerre mondiale (on est en 42) ça se tourne à Nice aux studios de la Victorine) bientôt on entendra le tonnerre (bientôt Il apparaîtra mais ne parviendra pas à ses fins) sous les traits de Jules Berry - (son "vrai"nom" : Marie-Louis-Jules Paufichet)l'un de mes préférés de l'époque) Dominique, magnifique et fantastique (comme Alain Cuny est Gilles) c'est Arletty,ce sont deux envoyés de l'au-delà (noir comme l'enfer) mais l'amour restera plus fort (c'est bien) (ça va) Les Visiteurs du soir (Marcel Carné, 1942)(entre autres : au scénario Prévert Jacques (en silhouette aussi); à la musique Kosma Joseph; aux décors Trauner Alexandre) classiquissime - on ne peut pas faire la part du vrai et de l'imaginé, de la guerre ou du cinéma... (fantastique !)
Oui, fantastique ! Le commentaire ! Pour sûr !
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