lundi 10 mai 2021

Poème express n° 851

posted by Lucien Suel at 07:26

3 Comments:

Anonymous ste said...

une voix ne m'aime pas

08:10  
Anonymous Anonyme said...

(désolé je suis en retard - jsuis parti c'est pour ça) (en Normandie si tu veux tout savoir - il y pleut...) dans le cinéma il y a les arts, les essais les tentatives, et puis il y a le standard - la qualité industrielle où les choses sont bien faites, certes, mais sans génie ni trop d'émotion - en Angleterre UK chez sa royale et très gracieuse Majesté, pareil :il y a le free cinema (Lindsay Anderson, Karel Reisz ou Tony Richardson, suivis bientôt par Ken Loach ou Mike Leigh) et puis le cinéma standard produit par la Rank souvent (alors) - ici c'est le cas, qui irait connaitre Ken Annakin ? et pourtant, réalisateur d'une cinquantaine de films, ici c'est le VIP (aux pieds nus...) (Very Important Person, le titre original du film) un type qui se fait passer pour un autre, scientifique, pendant la guerre - un standard, ce n'est pas de la résistance comme on la connaît outre-Manche (je veux dire de notre côté du channel) mais ce sont les sentiments d'alors, c'est aussi cette promesse "du sang, du labeur, des larmes et de la sueur" de Winston Churchill qui sauve in extremis le héros (je ne me souviens plus s'il apparaît...) - cette part de l'histoire avec un grand h sans doute, qui se retrouve en fiction - une façon, une main, une manière de faire du cinéma (sans vraiment d'auteur...) Le Prisonnier récalcitrant (Ken Annakin, 1961) (loyal et honnête - remarquable et respectable aussi - faudrait voir si ça n'a pas trop vieilli, en soixante ans...)

11:32  
Blogger Lucien Suel said...

Blood sweat & tears!

13:37  

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