c'est vrai qu'à la fin (de la première partie) il est vraiment devenu un bon gars, Lawrence un vrai pro, d'ailleurs il adore son M 14 (son fusil) plus qu'il adorerait une femme (pour en arriver là, certes, il a subi toutes les humiliations de la part de son sergent instructeur)(Hartman - incarné (c'est le mot juste) par un "vrai" instructeur à la retraite, Ronald Lee Ermey (il a fait des pieds et des mains (comme on dit) pour avoir le rôle, et il l'a eu) : il finira mal (on en est presque content) - Lawrence aussi tu me diras - c'est effrayant et toute cette séquence (fin de la première partie du film) est vraiment infernal (on retrouvera deux ans plus tard le regard de ce Lawrence (Vincent D'Onofrio, formidable) dans celui du Jack Torrance ("tout ce boulot et rien pour s'amuser ça fait de Jack un méchant garçon") (Shining, 1980) (P/E*791) - la deuxième partie, c'est la guerre du Viêt Nam (l'offensive de la fête du Têt en 1968) et elle n'est pas non plus tellement joyeuse... (enfin c'est un film de guerre - l'un des plus terribles que porte le cinéma (on peut aussi comparer à "Voyage au bout de l'enfer" (The Deer Hunter, Michaël Cimino 1978) (mais , comme on sait, la comparaison, c'est juste con); ou aussi "Apolcalypse Now" (Francis Ford Coppola, 1979) un peu antérieurs) mais Lawrence est l'un des héros les plus impressionnants (en vrai un second rôle) - il montre comment le militarisme tue l'humanité - il y avait aussi M*A*S*H (Robert Altman, 1970) dans le genre (deux ans après les événements décrits ici par Stanley Kubrick) (enfin les USA se servent (et exploitent, évidemment) leur histoire et leurs colonisations (foirées) avec et par le cinéma (sauf que Stanley est moins étazunien que simplement humain) on voit aussi dans son "Orange Mécanique" (Clockwork Orange, 1971) les ravages de l'idéologie et les illusions propres à certains comportements (embrigadements, conditionnements) - formidable - Full Metal Jacket (Stanley Kubrick, 1987)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
la diction quasi militaire
c'est vrai qu'à la fin (de la première partie) il est vraiment devenu un bon gars, Lawrence un vrai pro, d'ailleurs il adore son M 14 (son fusil) plus qu'il adorerait une femme (pour en arriver là, certes, il a subi toutes les humiliations de la part de son sergent instructeur)(Hartman - incarné (c'est le mot juste) par un "vrai" instructeur à la retraite, Ronald Lee Ermey (il a fait des pieds et des mains (comme on dit) pour avoir le rôle, et il l'a eu) : il finira mal (on en est presque content) - Lawrence aussi tu me diras - c'est effrayant et toute cette séquence (fin de la première partie du film) est vraiment infernal (on retrouvera deux ans plus tard le regard de ce Lawrence (Vincent D'Onofrio, formidable) dans celui du Jack Torrance ("tout ce boulot et rien pour s'amuser ça fait de Jack un méchant garçon") (Shining, 1980) (P/E*791) - la deuxième partie, c'est la guerre du Viêt Nam (l'offensive de la fête du Têt en 1968) et elle n'est pas non plus tellement joyeuse... (enfin c'est un film de guerre - l'un des plus terribles que porte le cinéma (on peut aussi comparer à "Voyage au bout de l'enfer" (The Deer Hunter, Michaël Cimino 1978) (mais , comme on sait, la comparaison, c'est juste con); ou aussi "Apolcalypse Now" (Francis Ford Coppola, 1979) un peu antérieurs) mais Lawrence est l'un des héros les plus impressionnants (en vrai un second rôle) - il montre comment le militarisme tue l'humanité - il y avait aussi M*A*S*H (Robert Altman, 1970) dans le genre (deux ans après les événements décrits ici par Stanley Kubrick) (enfin les USA se servent (et exploitent, évidemment) leur histoire et leurs colonisations (foirées) avec et par le cinéma (sauf que Stanley est moins étazunien que simplement humain) on voit aussi dans son "Orange Mécanique" (Clockwork Orange, 1971) les ravages de l'idéologie et les illusions propres à certains comportements (embrigadements, conditionnements) - formidable - Full Metal Jacket (Stanley Kubrick, 1987)
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