(moins dramatiquement, il n'y a rien de sûr) c'est la fin du film, et tout est perdu pour elle (c'est le tailleur qui rend la chose plus féminine, je pense - le talon, peut-être aussi, sans doute est-il haut) tout est toujours perdu mais ce n'est pas un personnage très sympathique - elle vit dans le fantasme, elle invective sa demi-sœur (Ginger, naïve et loyale) sur ses relations avec l'homme qu'elle aime (mais qu'elle trompera, puis retrouvera) - c'est une comédie sentimentale (si c'est un genre) comme on dit - on pourrait dire "un film d'amour" (comme disaient mes mômes) - le clou du film c'est cette fête où elle (c'est Jasmine) rencontre un veuf fortuné et diplomate - elle y voit son futur (elle plane : elle prend trop de barbituriques sans doute) et préfère oublier son escroc de mari qui s'est suicidé en prison après avoir escroqué le premier mari de sa demi-sœur (on pense un peu à Madoff, le Bernard qui vient de mourir) (le film date de 2013) - et puis et puis... tout est découvert, le veuf comprend qu'il a failli se faire gruger et rompt brutalement (presque cruellement) avec Jasmine - elle reste là, seule désemparée à errer désespérée dans les rues de la ville - le personnage de Jasmine est interprété par Cate Blanchett (extra) qui le transcende tant qu'on a un peu de peine pour elle quand même (tous les seconds rôles, Alec Baldwin (l'escroc), et surtout Sally Hawkins (Ginger, la demi-sœur) sont splendides) (le réalisateur affirme souvent ne pas diriger les acteurs et surtout les actrices) (après il a eu quelques problèmes : c'est Woody Allen) - on ne va pas comparer avec Douglas Sirk mais on pourrait un petit peu - c'est peut-être un mélodrame, après tout... Blue Jasmine (Woody Allen, 2013)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
2 Comments:
(moins dramatiquement, il n'y a rien de sûr) c'est la fin du film, et tout est perdu pour elle (c'est le tailleur qui rend la chose plus féminine, je pense - le talon, peut-être aussi, sans doute est-il haut) tout est toujours perdu mais ce n'est pas un personnage très sympathique - elle vit dans le fantasme, elle invective sa demi-sœur (Ginger, naïve et loyale) sur ses relations avec l'homme qu'elle aime (mais qu'elle trompera, puis retrouvera) - c'est une comédie sentimentale (si c'est un genre) comme on dit - on pourrait dire "un film d'amour" (comme disaient mes mômes) - le clou du film c'est cette fête où elle (c'est Jasmine) rencontre un veuf fortuné et diplomate - elle y voit son futur (elle plane : elle prend trop de barbituriques sans doute) et préfère oublier son escroc de mari qui s'est suicidé en prison après avoir escroqué le premier mari de sa demi-sœur (on pense un peu à Madoff, le Bernard qui vient de mourir) (le film date de 2013) - et puis et puis... tout est découvert, le veuf comprend qu'il a failli se faire gruger et rompt brutalement (presque cruellement) avec Jasmine - elle reste là, seule désemparée à errer désespérée dans les rues de la ville - le personnage de Jasmine est interprété par Cate Blanchett (extra) qui le transcende tant qu'on a un peu de peine pour elle quand même (tous les seconds rôles, Alec Baldwin (l'escroc), et surtout Sally Hawkins (Ginger, la demi-sœur) sont splendides) (le réalisateur affirme souvent ne pas diriger les acteurs et surtout les actrices) (après il a eu quelques problèmes : c'est Woody Allen) - on ne va pas comparer avec Douglas Sirk mais on pourrait un petit peu - c'est peut-être un mélodrame, après tout... Blue Jasmine (Woody Allen, 2013)
le front cassé dramatiquement
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