lundi 26 avril 2021

Poème express n° 847

posted by Lucien Suel at 07:29

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(moins dramatiquement, il n'y a rien de sûr) c'est la fin du film, et tout est perdu pour elle (c'est le tailleur qui rend la chose plus féminine, je pense - le talon, peut-être aussi, sans doute est-il haut) tout est toujours perdu mais ce n'est pas un personnage très sympathique - elle vit dans le fantasme, elle invective sa demi-sœur (Ginger, naïve et loyale) sur ses relations avec l'homme qu'elle aime (mais qu'elle trompera, puis retrouvera) - c'est une comédie sentimentale (si c'est un genre) comme on dit - on pourrait dire "un film d'amour" (comme disaient mes mômes) - le clou du film c'est cette fête où elle (c'est Jasmine) rencontre un veuf fortuné et diplomate - elle y voit son futur (elle plane : elle prend trop de barbituriques sans doute) et préfère oublier son escroc de mari qui s'est suicidé en prison après avoir escroqué le premier mari de sa demi-sœur (on pense un peu à Madoff, le Bernard qui vient de mourir) (le film date de 2013) - et puis et puis... tout est découvert, le veuf comprend qu'il a failli se faire gruger et rompt brutalement (presque cruellement) avec Jasmine - elle reste là, seule désemparée à errer désespérée dans les rues de la ville - le personnage de Jasmine est interprété par Cate Blanchett (extra) qui le transcende tant qu'on a un peu de peine pour elle quand même (tous les seconds rôles, Alec Baldwin (l'escroc), et surtout Sally Hawkins (Ginger, la demi-sœur) sont splendides) (le réalisateur affirme souvent ne pas diriger les acteurs et surtout les actrices) (après il a eu quelques problèmes : c'est Woody Allen) - on ne va pas comparer avec Douglas Sirk mais on pourrait un petit peu - c'est peut-être un mélodrame, après tout... Blue Jasmine (Woody Allen, 2013)

08:13  
Anonymous ste said...

le front cassé dramatiquement

09:41  

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