ce qui ne fait aucun doute, c'est qu'il s'agit de Liz Taylor - et ses yeux mauves et ses boucles brunes (après c'est plus compliqué parce que ça pourrait aussi suggérer Simone Signoret, mais dans l'Armée des Ombres (Jean-Pierre Melville, 1969) or il est au P/E*752) (ou Micheline Presles dans L'Amour d'une femme (Jean Grémillon, 1953) (sublime) - exactement le "fais ce qui est juste" - mais c'est le "menottée" qui ne va pas) (et surtout c'est d'abord Liz) or donc ça dure plus de trois heures (ce n'est pas qu'on s'ennuie remarque, mais enfin pas loin...- je ne sais ce qui me fait penser à une concurrence avec "Autant en emporte le vent" (Victor Fleming,1939) - brunette ainsi que Scarlett O'Hara (ah Vivien Leigh...) - non, définitivement c'est elle dans le rôle de Leslie, c'est Rock Hudson dans celui de Bick (son mari, un héros beau comme un dieu) (pratiquement) - c'est une affaire qui se passe au Texas, le sud profond et raciste en diable - on se bat pour le pétrole fatalement (le parvenu qui interprète le rôle du méchant (James Dean) avait un peu de difficultés à jouer (avec le réalisateur, et avec la star Rock - mais copain comme tout avec Liz paraît-il)- on s'en fout, sans doute, mais dès la fin du tournage, il ira flanquer son cabriolet dans une voiture qui lui coupe la route et en mourra - 24 piges, quel gâchis) - on y voit aussi Dennis Hopper - on appelle ça une saga, l'histoire de cette famille-là (les Benedict) et le pauvre type qui devient riche (et mauvais (Jett/Jimmy Dean)) - pas policier pour un clou, mais la vengeance, les pleurs (vraiment trop long) oui (son titre aurait voulu le qualifier - comme le budget (ou le générique,long comme le bras) (produit par le réalisateur aussi) mais non) (Oscar 57 quand même du meilleur réalisateur - pas certain que ce soit tellement légitime) Géant (Georges Stevens, 1956)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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ce qui ne fait aucun doute, c'est qu'il s'agit de Liz Taylor - et ses yeux mauves et ses boucles brunes (après c'est plus compliqué parce que ça pourrait aussi suggérer Simone Signoret, mais dans l'Armée des Ombres (Jean-Pierre Melville, 1969) or il est au P/E*752) (ou Micheline Presles dans L'Amour d'une femme (Jean Grémillon, 1953) (sublime) - exactement le "fais ce qui est juste" - mais c'est le "menottée" qui ne va pas) (et surtout c'est d'abord Liz) or donc ça dure plus de trois heures (ce n'est pas qu'on s'ennuie remarque, mais enfin pas loin...- je ne sais ce qui me fait penser à une concurrence avec "Autant en emporte le vent" (Victor Fleming,1939) - brunette ainsi que Scarlett O'Hara (ah Vivien Leigh...) - non, définitivement c'est elle dans le rôle de Leslie, c'est Rock Hudson dans celui de Bick (son mari, un héros beau comme un dieu) (pratiquement) - c'est une affaire qui se passe au Texas, le sud profond et raciste en diable - on se bat pour le pétrole fatalement (le parvenu qui interprète le rôle du méchant (James Dean) avait un peu de difficultés à jouer (avec le réalisateur, et avec la star Rock - mais copain comme tout avec Liz paraît-il)- on s'en fout, sans doute, mais dès la fin du tournage, il ira flanquer son cabriolet dans une voiture qui lui coupe la route et en mourra - 24 piges, quel gâchis) - on y voit aussi Dennis Hopper - on appelle ça une saga, l'histoire de cette famille-là (les Benedict) et le pauvre type qui devient riche (et mauvais (Jett/Jimmy Dean)) - pas policier pour un clou, mais la vengeance, les pleurs (vraiment trop long) oui (son titre aurait voulu le qualifier - comme le budget (ou le générique,long comme le bras) (produit par le réalisateur aussi) mais non) (Oscar 57 quand même du meilleur réalisateur - pas certain que ce soit tellement légitime) Géant (Georges Stevens, 1956)
juste vivre
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