(attention vérité (et donc film) alternati.ve.f (ce qu'il y a c'est qu'on se demande à qui ça peut bien appartenir, ces yeux-là : sont-ce ceux d'Elisabeth Taylor, Bette Davies ou Romy Schneider ?) (il y a aussi ce tropisme (comme disait Nathalie) (on l'aime toujours) qui veut qu'on choisisse (si possible) autre chose qu'un film d'horreur) ici c'est un film sentimental (qu'on construise quelque chose ex nihilo, un film qui n'existerait pas mais dont l'une des scènes serait le P/E* - un film inconnu même des exégètes de l'œuvre de Max Ophüls ou de Serguei Eisenstein) ici le réalisateur est d'origine allemande, Charles Wending (serait-ce Jean Seberg ? ou une des JamesBondgirl comme Carole Bouquet ?) (Marion Crane (aka Janet Leigh), mais Norman l'a tuée dans la douche,allons...) (il se peut que ce soit une enfant si tu veux mon avis - il s'agit de l'un de ses rêves récurrents - type quelqu'une de l'entourage de Gilles de Rais, par exemple - il n'y a pas loin du démon) (il y aurait forcément quelqu'un pour la sauver des griffes de Satan - ou pas) (ce serait juste un mauvais rêve, elle va se réveiller) oui finalement, c'est Martine Carole - elle joue ce rôle dans l'adaptation du roman de Jeanne McWilliams Blasberg - on dit éponyme, mais je n'aime pas le mot - Jean Gabin dans le rôle du père qui la sauve (une de ses plus belles incarnations) - une saga, le titre, c'est le nom qu'il a donné à la maison familiale, une espèce de château, entouré d'un grand parc ombreux - Éden (Charles Wending, 1965) (une vraie fiction...)
J'ai bien noté l'existence de Jeanne McWilliams Blasberg et de son roman. En revanche, aucune trace sur internet de ce Charles Wending... Donc fiction de fiction, vraiment ? En revanche, Charles Wedding (les noces du Prince Charles) à la pelle (à l'appel)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
6 Comments:
moisissure de poitrine
En vente dans toutes les bonnes charcuteries
(attention vérité (et donc film) alternati.ve.f (ce qu'il y a c'est qu'on se demande à qui ça peut bien appartenir, ces yeux-là : sont-ce ceux d'Elisabeth Taylor, Bette Davies ou Romy Schneider ?) (il y a aussi ce tropisme (comme disait Nathalie) (on l'aime toujours) qui veut qu'on choisisse (si possible) autre chose qu'un film d'horreur) ici c'est un film sentimental (qu'on construise quelque chose ex nihilo, un film qui n'existerait pas mais dont l'une des scènes serait le P/E* - un film inconnu même des exégètes de l'œuvre de Max Ophüls ou de Serguei Eisenstein) ici le réalisateur est d'origine allemande, Charles Wending (serait-ce Jean Seberg ? ou une des JamesBondgirl comme Carole Bouquet ?) (Marion Crane (aka Janet Leigh), mais Norman l'a tuée dans la douche,allons...) (il se peut que ce soit une enfant si tu veux mon avis - il s'agit de l'un de ses rêves récurrents - type quelqu'une de l'entourage de Gilles de Rais, par exemple - il n'y a pas loin du démon) (il y aurait forcément quelqu'un pour la sauver des griffes de Satan - ou pas) (ce serait juste un mauvais rêve, elle va se réveiller) oui finalement, c'est Martine Carole - elle joue ce rôle dans l'adaptation du roman de Jeanne McWilliams Blasberg - on dit éponyme, mais je n'aime pas le mot - Jean Gabin dans le rôle du père qui la sauve (une de ses plus belles incarnations) - une saga, le titre, c'est le nom qu'il a donné à la maison familiale, une espèce de château, entouré d'un grand parc ombreux - Éden (Charles Wending, 1965) (une vraie fiction...)
J'ai bien noté l'existence de Jeanne McWilliams Blasberg et de son roman. En revanche, aucune trace sur internet de ce Charles Wending... Donc fiction de fiction, vraiment ?
En revanche, Charles Wedding (les noces du Prince Charles) à la pelle (à l'appel)
@LS : mais oui c'est un poisson d'avril - je t'ai envoyé l'affiche par mail cependant...
Magnifique affiche en technicolor.
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