(c'est compliqué, ces affaires de ouèbe - on écrit, on avance, on compulse, c'est en marchant qu'on devient marcheron) (parfois ma claque, vraiment) probablement un truc de vieux machin - d'ailleurs c'est un peu le thème, parce que c'est vrai qu'il y a le jardin (les souvenirs, la cousine, le soleil tout ça) (c'est vrai, c'est là) mais il y a aussi la vie (la vraie vie : dans la voiture, ils roulent, lui et sa belle-fille (elle conduit, elle s'appelle Marianne et il va s'endormir) (et dans le rêve (proprement magique - formidable - magnifique) il va mourir aussi) et je ne pense pas qu'il l'ait jamais aimée, cette belle-fille, comme on aime son enfant)(on ne se prend pas à penser "tant mieux" pour son rêve de mort mais enfin) lui, Isak Borg, c'est un professeur en médecine, on va l'honorer, le décorer, lui vouer reconnaissance et gratitude - mais il fait le compte de sa vie et c'est pas moyennement joli (ou réussi) (ou heureux..) (c'est tout Bergman)... seulement le jardin, ah oui, le jardin (et les souvenirs, le soleil, la cousine et les fraises sauvages) un bien beau film (revu il y a peu (quelques années) vieilli et attaqué par les ans (il date aussi de 1957 faut dire)) Les Fraises sauvages (Ingmar Bergman, 1957 donc) (dans le rôle d'Isak, Victor Sjöström, l'un des plus grands réalisateurs de cinéma muet - dans 3 ans, il décède...)(en 60, à 80 printemps) Sara c'est Bibi Andersson (sublime); la belle-fille, Ingrid Thulin - coup de poing) (à l'image (le rêve en noir et blanc, inoubliable) Gunar Fischer - il est de (presque) tous les premiers films de Bergman (ensuite ce sera Sven Nykvist) (un petit rôle pour Max von Sydow (un de mes acteurs préférés)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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(c'est compliqué, ces affaires de ouèbe - on écrit, on avance, on compulse, c'est en marchant qu'on devient marcheron) (parfois ma claque, vraiment) probablement un truc de vieux machin - d'ailleurs c'est un peu le thème, parce que c'est vrai qu'il y a le jardin (les souvenirs, la cousine, le soleil tout ça) (c'est vrai, c'est là) mais il y a aussi la vie (la vraie vie : dans la voiture, ils roulent, lui et sa belle-fille (elle conduit, elle s'appelle Marianne et il va s'endormir) (et dans le rêve (proprement magique - formidable - magnifique) il va mourir aussi) et je ne pense pas qu'il l'ait jamais aimée, cette belle-fille, comme on aime son enfant)(on ne se prend pas à penser "tant mieux" pour son rêve de mort mais enfin) lui, Isak Borg, c'est un professeur en médecine, on va l'honorer, le décorer, lui vouer reconnaissance et gratitude - mais il fait le compte de sa vie et c'est pas moyennement joli (ou réussi) (ou heureux..) (c'est tout Bergman)... seulement le jardin, ah oui, le jardin (et les souvenirs, le soleil, la cousine et les fraises sauvages) un bien beau film (revu il y a peu (quelques années) vieilli et attaqué par les ans (il date aussi de 1957 faut dire)) Les Fraises sauvages (Ingmar Bergman, 1957 donc) (dans le rôle d'Isak, Victor Sjöström, l'un des plus grands réalisateurs de cinéma muet - dans 3 ans, il décède...)(en 60, à 80 printemps) Sara c'est Bibi Andersson (sublime); la belle-fille, Ingrid Thulin - coup de poing) (à l'image (le rêve en noir et blanc, inoubliable) Gunar Fischer - il est de (presque) tous les premiers films de Bergman (ensuite ce sera Sven Nykvist) (un petit rôle pour Max von Sydow (un de mes acteurs préférés)
paradironces
Des ronces et des fraises sauvages. Ce n'est pas Le Jardin des délices, ni La mort en ce jardin, ni même les dialogues avec mon jardinier.
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