(c'est à cause de "trucider" qui ne va qu'à un certain registre - on ne parle pas comme ça dans le monde de Fedora (les films de Billy Wilder devraient tous figurer ici, comme ceux de Sir Alfred ou ceux de Stanley quand on en sera à mille - vous êtes prévenus) où Marthe Keller dans le rôle était formidable (le scénario était assez , comment dire, confus ?) (1978) mais non donc (c'est quand même ce film-là qui m'est venu en premier) (c'est le dernier mot qui fait apparaître le titre du film du splendide P/E*) (c'est aussi le producteur, un certain Raoul Lévy, voleur menteur truqueur (ruiné dans six ou huit ans d'ici par la production mégalomane d'un"Marco Polo" (1964) parfaitement indigeste): il a "fait" la carrière de BB il y a deux ans - ce film-ci est de 58, elle tape les 24 piges (puisqu'elle est de 34) (on suit au fond ?) encore un Autan-Lara (qualité française, humour et scénario franchouillard quand même) Edwige Feuillères impériale, Gabin qui commence à faire le vieux beau (il est de 4,il tape 54 - la scène où elle le convainc de la défendre (il joue le rôle d'un avocat) (assez marron, il faut bien dire) en lui montrant (non pas son cul) mais ses jambes indique clairement la catégorie (une idéologie peut-être réac, qualité du même tonneau) (on n'est pas obligé d'aimer les films qui illustrent les P/E* non plus - ce sont eux qui gouvernent) (on avait droit au valseur de la star : il a été coupé au montage) (french touch) (scénar/dialogues : Aurenche et Bost (une certaine classe) (adaptation d'un roman de Simenon à la sexualité poisseuse - lapalissade) - succès public (bien qu'interdit au moins de 16 ans) - En cas de malheur (Claude Autan-Lara, 1958) (le producteur éconduit par une starlette de 20 ans se tirera (à 44 ans) malencontreusement une décharge de fusil dans le bas ventre, un 31 décembre, à Saint-Tropez là même où se déroulait le film qui fit sa gloire éphémère ("Et dieu créa ...la femme" (tout est dans les trois petits points) (Roger Vadim (alors époux de la blonde qui a très mal tourné), 1956)(toute une époque)
@ste un peu d'optimisme dans la noirceur du caviar @pchanonyme j'avais 10 ans d'innocence et je ne connaissais ni le verbe trucider ni les jambes de BB.
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
4 Comments:
Un de ces jours pas de malheur
(c'est à cause de "trucider" qui ne va qu'à un certain registre - on ne parle pas comme ça dans le monde de Fedora (les films de Billy Wilder devraient tous figurer ici, comme ceux de Sir Alfred ou ceux de Stanley quand on en sera à mille - vous êtes prévenus) où Marthe Keller dans le rôle était formidable (le scénario était assez , comment dire, confus ?) (1978) mais non donc (c'est quand même ce film-là qui m'est venu en premier) (c'est le dernier mot qui fait apparaître le titre du film du splendide P/E*) (c'est aussi le producteur, un certain Raoul Lévy, voleur menteur truqueur (ruiné dans six ou huit ans d'ici par la production mégalomane d'un"Marco Polo" (1964) parfaitement indigeste): il a "fait" la carrière de BB il y a deux ans - ce film-ci est de 58, elle tape les 24 piges (puisqu'elle est de 34) (on suit au fond ?) encore un Autan-Lara (qualité française, humour et scénario franchouillard quand même) Edwige Feuillères impériale, Gabin qui commence à faire le vieux beau (il est de 4,il tape 54 - la scène où elle le convainc de la défendre (il joue le rôle d'un avocat) (assez marron, il faut bien dire) en lui montrant (non pas son cul) mais ses jambes indique clairement la catégorie (une idéologie peut-être réac, qualité du même tonneau) (on n'est pas obligé d'aimer les films qui illustrent les P/E* non plus - ce sont eux qui gouvernent) (on avait droit au valseur de la star : il a été coupé au montage) (french touch) (scénar/dialogues : Aurenche et Bost (une certaine classe) (adaptation d'un roman de Simenon à la sexualité poisseuse - lapalissade) - succès public (bien qu'interdit au moins de 16 ans) - En cas de malheur (Claude Autan-Lara, 1958) (le producteur éconduit par une starlette de 20 ans se tirera (à 44 ans) malencontreusement une décharge de fusil dans le bas ventre, un 31 décembre, à Saint-Tropez là même où se déroulait le film qui fit sa gloire éphémère ("Et dieu créa ...la femme" (tout est dans les trois petits points) (Roger Vadim (alors époux de la blonde qui a très mal tourné), 1956)(toute une époque)
@ste un peu d'optimisme dans la noirceur du caviar
@pchanonyme j'avais 10 ans d'innocence et je ne connaissais ni le verbe trucider ni les jambes de BB.
Très jolis commentaires!
Qui n'aurait pas trucidé le noir caviar pour les gambettes de bb?
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