(parfois le P/E* indique quelque chose que je ne savais pas : ici Marilyn Monroe) (difficile à comprendre mais enfin le tonnerre, les paroles imbéciles, les coktails - on a droit à tout le kit) (comme Billy Wilder est ici un peu comme Stanley K. ou Sir Alfred (sans compter les diverses œuvres de l'ami Sam Fuller ou de Jo Mankiewicz) : tous ses films se devraient d'être cités) enfin les soirées sont animées, c'est Sugar (alias Marilyne) qui chante (derrière elle, l'orchestre assure à mort : composé uniquement de filles, ça ne peut pas faire autre chose que le "hot" du titre) (Josephine (au saxophone) et Géraldine (à la contrebasse) sont magnifiques - elles sont incarnées par des hommes mais qu'est-ce que ça peut faire ?) on est quand même mort de rire du début à la fin - on les aime tant) (la photo c'est Charles Lang - magique) la musique aussi (Adolph Deutsch, chef d'orchestre arrangeur compositeur - musique du Faucon Maltais (John Huston, 1941) (entre cent autres) je me souviens) Hollywood dans toute sa splendeur... et comme on sait sans doute ce "well... nobody's perfect" la dernière réplique du film, formidable et tellement actuelle... Some like it hot (Certains l'aiment chaud, Billy Wilder, 1959) (chaud bouillant...!)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
3 Comments:
la tempête va boire des coktails
(parfois le P/E* indique quelque chose que je ne savais pas : ici Marilyn Monroe) (difficile à comprendre mais enfin le tonnerre, les paroles imbéciles, les coktails - on a droit à tout le kit) (comme Billy Wilder est ici un peu comme Stanley K. ou Sir Alfred (sans compter les diverses œuvres de l'ami Sam Fuller ou de Jo Mankiewicz) : tous ses films se devraient d'être cités) enfin les soirées sont animées, c'est Sugar (alias Marilyne) qui chante (derrière elle, l'orchestre assure à mort : composé uniquement de filles, ça ne peut pas faire autre chose que le "hot" du titre) (Josephine (au saxophone) et Géraldine (à la contrebasse) sont magnifiques - elles sont incarnées par des hommes mais qu'est-ce que ça peut faire ?) on est quand même mort de rire du début à la fin - on les aime tant) (la photo c'est Charles Lang - magique) la musique aussi (Adolph Deutsch, chef d'orchestre arrangeur compositeur - musique du Faucon Maltais (John Huston, 1941) (entre cent autres) je me souviens) Hollywood dans toute sa splendeur... et comme on sait sans doute ce "well... nobody's perfect" la dernière réplique du film, formidable et tellement actuelle... Some like it hot (Certains l'aiment chaud, Billy Wilder, 1959) (chaud bouillant...!)
Perfect!
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