(ces temps-ci une exposition ayant pour sujet/thème/objet Sergio Leone a lieu, mais c'est pas ça) (c'est vrai que ces temps-ci aussi (comme dirait Félicie) je lis l'autobiographie de l'auteur, "Laterna Magica", qu'il a écrite en 1987) (on pourrait parler des multiples pseudonymes hétéronymes - jusqu'à quatre vingt douze ai-je lu un jour - de l'ami Fernando, lisboète alcoolique intranquille mais non) (non plus) plus ces deux magnifiques personnes, l'une mutique (Elisabeth), l'autre qui soigne et parle d'elle (Alma), plus ces images (Sven Nykvist, la magie de la technique, l'image animée à son plus parfait sommet) plus ces réminiscences (le môme qui caresse les images : une merveille) faux raccords fondus et une bande son qui vous assaille (ce n'est pas une comédie, il ne savait pas faire, Ingmar Bergman, mais c'est magnifique, grandiose, merveilleux de cinéma et d'invention) (les rôles, Liv Ullman en Elisabeth et Bibi Andersson en Alma, formidables de justesse, des femmes extraordinaires, est-ce l'une, est-ce l'autre, personne ne sait...) et puis la trahison, la haine, le désespoir... l'un des plus beaux films du monde et de tous les temps et univers "Persona" (Ingmar Bergman, 1966)
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(ces temps-ci une exposition ayant pour sujet/thème/objet Sergio Leone a lieu, mais c'est pas ça) (c'est vrai que ces temps-ci aussi (comme dirait Félicie) je lis l'autobiographie de l'auteur, "Laterna Magica", qu'il a écrite en 1987) (on pourrait parler des multiples pseudonymes hétéronymes - jusqu'à quatre vingt douze ai-je lu un jour - de l'ami Fernando, lisboète alcoolique intranquille mais non) (non plus) plus ces deux magnifiques personnes, l'une mutique (Elisabeth), l'autre qui soigne et parle d'elle (Alma), plus ces images (Sven Nykvist, la magie de la technique, l'image animée à son plus parfait sommet) plus ces réminiscences (le môme qui caresse les images : une merveille) faux raccords fondus et une bande son qui vous assaille (ce n'est pas une comédie, il ne savait pas faire, Ingmar Bergman, mais c'est magnifique, grandiose, merveilleux de cinéma et d'invention) (les rôles, Liv Ullman en Elisabeth et Bibi Andersson en Alma, formidables de justesse, des femmes extraordinaires, est-ce l'une, est-ce l'autre, personne ne sait...) et puis la trahison, la haine, le désespoir... l'un des plus beaux films du monde et de tous les temps et univers "Persona" (Ingmar Bergman, 1966)
Qu'est-ce ire?
Une dette
@PCH, Quelle mémoire ! Tu me donnes envie de le revoir.
@Ste Dies irae...
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