vendredi 2 novembre 2018

Poème express n° 740

posted by Lucien Suel at 10:16

5 Comments:

Anonymous ste said...

David ouvrit son regard aux alentours

11:57  
Blogger Lucien Suel said...

Quasi-alexandrin ! Merci.

13:08  
Anonymous ste said...

David ouvrit la porte et son blouson.
La température était salement douce.
La chance était encore avec lui.
Il consulta sa femme puis sa montre, l'une d'entre elles ne mentait jamais.
Il se sentait toujours plus brusque que la frayeur.
Il jeta un regard faiblement furtif aux alentours faiblement dévoilés.
Ça allait dépoter autrement plus puissamment que dans la boîte de Pandore.

20:39  
Anonymous Anonyme said...

(on a déjà donné pour David Vincent - sa brusque frayeur, son petit doigt presque levé et tout le reste qui va avec - d'ailleurs on est en plein science fiction - et de le dire fait en sorte qu'on n'oublie rien, de rien, on n'oublie rien du tout - c'est le P/E*724 - ça va comme ça) (il y aurait bien "L'invasion des profanateurs de sépultures" (Don Siegel, 1956) qui est une pure merveille - qui a mal vieilli me dit-on - mais dont on ne peut garder qu'un souvenir attendri - musique Carmen Dragon (c'est un garçon) formidable) (mais non) (il y a aussi "La chose venue d'un autre monde" (Christian Nyby, et Howard Hawks, 1951) (le premier film vu de sa vie par votre serviteur) mais où on n'y trouve pas de David) (donc c'est non) (et au risque de me répéter tant pis, en plus deux P/E* qui se suivent avec le même réalisateur, ça ne fait rien, je reste souple) (même si je suis en retard - mais je suis aussi en week-end) son patronyme est Bowman (ça veut dire archer, celui qui tire des flèches, pas celui du violon ou autre corde qui se dit "archer") il s'entraîne, mange et dort à bord du vaisseau Discovery 1 (comme les navettes dans le vrai monde réel, oui...) : on ne sait pas bien où il va, ce vaisseau, mais ce qu'il y a de sûr c'est que l'ordinateur de bord déconne à plein tube : il va falloir le débrancher, ce qui nous occasionnera une petite chanson et c'est David qui s'y collera... (la petite Vivian, 8 ans, fille du réalisateur, joue la fille d'un des protagonistes, qu'on voit par visiophone dans la station orbitale circumlunaire avant l'arrivée du type qui enquête un peu, là) enfin, il y aurait tant de choses à dire sur cette merveille... "2001, l'Odyssée de l'espace" (Stanley Kubrick, 1968) 50 ans et pas une ride, c'est pour dire...

16:31  
Blogger Lucien Suel said...

Je suis bien aise de voir ce poème express provoquer une telle créativité, de telles images, de zeugmes en souvenirs emboîtés. Merci à vous deux

10:02  

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