David ouvrit la porte et son blouson. La température était salement douce. La chance était encore avec lui. Il consulta sa femme puis sa montre, l'une d'entre elles ne mentait jamais. Il se sentait toujours plus brusque que la frayeur. Il jeta un regard faiblement furtif aux alentours faiblement dévoilés. Ça allait dépoter autrement plus puissamment que dans la boîte de Pandore.
(on a déjà donné pour David Vincent - sa brusque frayeur, son petit doigt presque levé et tout le reste qui va avec - d'ailleurs on est en plein science fiction - et de le dire fait en sorte qu'on n'oublie rien, de rien, on n'oublie rien du tout - c'est le P/E*724 - ça va comme ça) (il y aurait bien "L'invasion des profanateurs de sépultures" (Don Siegel, 1956) qui est une pure merveille - qui a mal vieilli me dit-on - mais dont on ne peut garder qu'un souvenir attendri - musique Carmen Dragon (c'est un garçon) formidable) (mais non) (il y a aussi "La chose venue d'un autre monde" (Christian Nyby, et Howard Hawks, 1951) (le premier film vu de sa vie par votre serviteur) mais où on n'y trouve pas de David) (donc c'est non) (et au risque de me répéter tant pis, en plus deux P/E* qui se suivent avec le même réalisateur, ça ne fait rien, je reste souple) (même si je suis en retard - mais je suis aussi en week-end) son patronyme est Bowman (ça veut dire archer, celui qui tire des flèches, pas celui du violon ou autre corde qui se dit "archer") il s'entraîne, mange et dort à bord du vaisseau Discovery 1 (comme les navettes dans le vrai monde réel, oui...) : on ne sait pas bien où il va, ce vaisseau, mais ce qu'il y a de sûr c'est que l'ordinateur de bord déconne à plein tube : il va falloir le débrancher, ce qui nous occasionnera une petite chanson et c'est David qui s'y collera... (la petite Vivian, 8 ans, fille du réalisateur, joue la fille d'un des protagonistes, qu'on voit par visiophone dans la station orbitale circumlunaire avant l'arrivée du type qui enquête un peu, là) enfin, il y aurait tant de choses à dire sur cette merveille... "2001, l'Odyssée de l'espace" (Stanley Kubrick, 1968) 50 ans et pas une ride, c'est pour dire...
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
5 Comments:
David ouvrit son regard aux alentours
Quasi-alexandrin ! Merci.
David ouvrit la porte et son blouson.
La température était salement douce.
La chance était encore avec lui.
Il consulta sa femme puis sa montre, l'une d'entre elles ne mentait jamais.
Il se sentait toujours plus brusque que la frayeur.
Il jeta un regard faiblement furtif aux alentours faiblement dévoilés.
Ça allait dépoter autrement plus puissamment que dans la boîte de Pandore.
(on a déjà donné pour David Vincent - sa brusque frayeur, son petit doigt presque levé et tout le reste qui va avec - d'ailleurs on est en plein science fiction - et de le dire fait en sorte qu'on n'oublie rien, de rien, on n'oublie rien du tout - c'est le P/E*724 - ça va comme ça) (il y aurait bien "L'invasion des profanateurs de sépultures" (Don Siegel, 1956) qui est une pure merveille - qui a mal vieilli me dit-on - mais dont on ne peut garder qu'un souvenir attendri - musique Carmen Dragon (c'est un garçon) formidable) (mais non) (il y a aussi "La chose venue d'un autre monde" (Christian Nyby, et Howard Hawks, 1951) (le premier film vu de sa vie par votre serviteur) mais où on n'y trouve pas de David) (donc c'est non) (et au risque de me répéter tant pis, en plus deux P/E* qui se suivent avec le même réalisateur, ça ne fait rien, je reste souple) (même si je suis en retard - mais je suis aussi en week-end) son patronyme est Bowman (ça veut dire archer, celui qui tire des flèches, pas celui du violon ou autre corde qui se dit "archer") il s'entraîne, mange et dort à bord du vaisseau Discovery 1 (comme les navettes dans le vrai monde réel, oui...) : on ne sait pas bien où il va, ce vaisseau, mais ce qu'il y a de sûr c'est que l'ordinateur de bord déconne à plein tube : il va falloir le débrancher, ce qui nous occasionnera une petite chanson et c'est David qui s'y collera... (la petite Vivian, 8 ans, fille du réalisateur, joue la fille d'un des protagonistes, qu'on voit par visiophone dans la station orbitale circumlunaire avant l'arrivée du type qui enquête un peu, là) enfin, il y aurait tant de choses à dire sur cette merveille... "2001, l'Odyssée de l'espace" (Stanley Kubrick, 1968) 50 ans et pas une ride, c'est pour dire...
Je suis bien aise de voir ce poème express provoquer une telle créativité, de telles images, de zeugmes en souvenirs emboîtés. Merci à vous deux
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