(je me dépêche mais c'est l'un des plus grands films du monde et de tout l'univers) (un seul mot suffirait pour l'identifier - et d'ailleurs, le titre, c'est le nom du magnat, suffit aussi) (si vous ne l'avez pas encore vu,vous avez de la chance : on vous envierait presque) (il fait appel à la pléiade d'Hollywood, début quarante, Bernard Hermann à la musique, Robert Wise au montage, Gregg Toland à l'image et la profondeur de champ, les plafonds, les images formidables lui doivent sans doute pas mal) (le réalisateur a vingt cinq ans, et c'est son premier film : ce n'est peut-être pas une qualité mais c'est une prouesse : on entend parfois dire qu'il a tapé trop fort pour une première fois, et qu'il ne pouvait que déchoir ensuite, ce qui est exagéré) le mot évoqué au début c'est Rosebud, et le type c'est Charles Foster Kane : les premiers plans, dans une espèce de musée, montrent un journaliste consultant des archives, c'est pour ça (Citizen Kane, Orson Wells 1941) (je vais refaire du café)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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3 Comments:
(je me dépêche mais c'est l'un des plus grands films du monde et de tout l'univers) (un seul mot suffirait pour l'identifier - et d'ailleurs, le titre, c'est le nom du magnat, suffit aussi) (si vous ne l'avez pas encore vu,vous avez de la chance : on vous envierait presque) (il fait appel à la pléiade d'Hollywood, début quarante, Bernard Hermann à la musique, Robert Wise au montage, Gregg Toland à l'image et la profondeur de champ, les plafonds, les images formidables lui doivent sans doute pas mal) (le réalisateur a vingt cinq ans, et c'est son premier film : ce n'est peut-être pas une qualité mais c'est une prouesse : on entend parfois dire qu'il a tapé trop fort pour une première fois, et qu'il ne pouvait que déchoir ensuite, ce qui est exagéré) le mot évoqué au début c'est Rosebud, et le type c'est Charles Foster Kane : les premiers plans, dans une espèce de musée, montrent un journaliste consultant des archives, c'est pour ça (Citizen Kane, Orson Wells 1941) (je vais refaire du café)
Ah bravo, c'est du rapide. Notre café a dû passer en même temps !
C'était la vase même
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