il arrive parfois que l'actualité nous donne à voir des films magnifiques - c'est rare, je reconnais, sans compter qu'on risque très souvent de passer à côté (à quinze ou vingt films sortis par semaine, tu parles comme il faut être vigilant) - c'est ce "vous n'êtes rien" qui aiguille : il y a dans ce film l'incarnation divine (Louis le seizième) (incarné par Laurent Lafitte : on l'avait vu aussi en pervers polymorphe et gradé de la première guerre mondiale, dans le "Au revoir là-haut" de Albert Dupontel (2017) n: ici il ne fait rien, mais magnifiquement) qui va bientôt paraître devant le tribunal du peuple (la liberté ou la mort) (vaguement l'impression de radoter mais tant pis)(j'ai fait un billet dans la maisons(s)témoin sur le film) (il est vraiment bien), il y a la joie, les discours, l'amour et le soleil, il y a le feu, le verre, la façon la manière et la révolution, les discours : il y a aussi un type un peu diminué (Gaspard Ulliel, formidable) qui se penche et que le Roi lui-même bénit, onction suprême, pose sa main sur sa tête : une merveille... non, lui n'est rien, un demeuré, un illuminé, un va-nus-pieds, et non, nous-mêmes, nous ne sommes rien, rien de rien, mais nous sommes unis et ainsi nous sommes et nous seront tout... (merveille des merveilles : Un peuple et son roi, Pierre Schoeller 2018)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
3 Comments:
N'essayez rien
il arrive parfois que l'actualité nous donne à voir des films magnifiques - c'est rare, je reconnais, sans compter qu'on risque très souvent de passer à côté (à quinze ou vingt films sortis par semaine, tu parles comme il faut être vigilant) - c'est ce "vous n'êtes rien" qui aiguille : il y a dans ce film l'incarnation divine (Louis le seizième) (incarné par Laurent Lafitte : on l'avait vu aussi en pervers polymorphe et gradé de la première guerre mondiale, dans le "Au revoir là-haut" de Albert Dupontel (2017) n: ici il ne fait rien, mais magnifiquement) qui va bientôt paraître devant le tribunal du peuple (la liberté ou la mort) (vaguement l'impression de radoter mais tant pis)(j'ai fait un billet dans la maisons(s)témoin sur le film) (il est vraiment bien), il y a la joie, les discours, l'amour et le soleil, il y a le feu, le verre, la façon la manière et la révolution, les discours : il y a aussi un type un peu diminué (Gaspard Ulliel, formidable) qui se penche et que le Roi lui-même bénit, onction suprême, pose sa main sur sa tête : une merveille... non, lui n'est rien, un demeuré, un illuminé, un va-nus-pieds, et non, nous-mêmes, nous ne sommes rien, rien de rien, mais nous sommes unis et ainsi nous sommes et nous seront tout... (merveille des merveilles : Un peuple et son roi, Pierre Schoeller 2018)
Ah, celui-là, j'essaierai bien de le voir. Mais où ? Dans mon désert...
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