(il est tout fait, celui-là) (tu vois quelqu'un d'autre dans le peignoir que Jeanne Moreau, toi ? Fanny Ardant ? Nan, il n'y a qu'elle...) Lydia (mais pas Eva parce que on l'a déjà croisée, chez Losey, dans le 680, où elle maltraite Tyvian Jones (alias Stanley Baker, pauvre chou)) Lydia oui qui va rompre cette nuit (ou alors non : son mari (Ah Marcello...!) qui papillonne, qui va écrire l'histoire d'une grosse boite, ou qui vaque comme un écrivain à succès) et elle, seule dans la nuit... (la nuit, oui, le peignoir, l'élégance et le mal de vivre/qu'il nous faut vivre/vaille que vivre...) (la très grande classe) ("La nuit" Michelangelo Antonioni, 1961 - au cadre Pasquale de Santis, image Gianni di Venanzo - le même qui fit l'image d'Eva - et de tant et tant d'autres films magnifiques, Rosi, Fellini (8 et demi - otto et mezzo - ...), tant d'autres - et du "Guêpier pour trois abeilles" (Honey pot) de Jo Mankiewicz 1967) (je pose une photo d'Eva là-bas)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(il est tout fait, celui-là) (tu vois quelqu'un d'autre dans le peignoir que Jeanne Moreau, toi ? Fanny Ardant ? Nan, il n'y a qu'elle...) Lydia (mais pas Eva parce que on l'a déjà croisée, chez Losey, dans le 680, où elle maltraite Tyvian Jones (alias Stanley Baker, pauvre chou)) Lydia oui qui va rompre cette nuit (ou alors non : son mari (Ah Marcello...!) qui papillonne, qui va écrire l'histoire d'une grosse boite, ou qui vaque comme un écrivain à succès) et elle, seule dans la nuit... (la nuit, oui, le peignoir, l'élégance et le mal de vivre/qu'il nous faut vivre/vaille que vivre...) (la très grande classe) ("La nuit" Michelangelo Antonioni, 1961 - au cadre Pasquale de Santis, image Gianni di Venanzo - le même qui fit l'image d'Eva - et de tant et tant d'autres films magnifiques, Rosi, Fellini (8 et demi - otto et mezzo - ...), tant d'autres - et du "Guêpier pour trois abeilles" (Honey pot) de Jo Mankiewicz 1967) (je pose une photo d'Eva là-bas)
Merci pour les modèles ! Ce poème express est de confection comme le peignoir pour l'ourse encagée.
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