à première vue, le rêve de comptable ce serait incarné par un acteur comme Elisha Cook junior - dans "The Killing" (Stanley Kubrick, 1956) -"L'ultime razzia", à la fin magnifique produite par un roquet qui s'échappe des tendres bras d'une maîtresse idiote mais paralytique si je me souviens bien - mais il y manquerait le flot de sang qu'on trouverait plutôt dans les divers "Kill Bill" et autres avatars (Quentin Tarentino, 2003 et 2004) (j'ai vaguement le sentiment, aussi, que comptabilité et rivières de sang indiquent nettement le Chicago des années vingt et trente, prohibition et fraude fiscale, soit donc Al Capone qui pointerait directement sur "L'affaire Al Capone" (Roger Corman, 1967, flots de sang garantis) ou "Les Incorruptibles" (Brian de Palma, 1986) et là, c'est un flot de films US qui risquerait de nous emporter, tant cette mythologie correspond à l'histoire de ce pays et à son fond de commerce, d'ailleurs) (on ne parvient cependant pas à inscrire la démolition de matériel - dont on voit parfois, de nos jours, les effets ourdis par un patronat jaloux et délocalisant...)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
2 Comments:
à première vue, le rêve de comptable ce serait incarné par un acteur comme Elisha Cook junior - dans "The Killing" (Stanley Kubrick, 1956) -"L'ultime razzia", à la fin magnifique produite par un roquet qui s'échappe des tendres bras d'une maîtresse idiote mais paralytique si je me souviens bien - mais il y manquerait le flot de sang qu'on trouverait plutôt dans les divers "Kill Bill" et autres avatars (Quentin Tarentino, 2003 et 2004) (j'ai vaguement le sentiment, aussi, que comptabilité et rivières de sang indiquent nettement le Chicago des années vingt et trente, prohibition et fraude fiscale, soit donc Al Capone qui pointerait directement sur "L'affaire Al Capone" (Roger Corman, 1967, flots de sang garantis) ou "Les Incorruptibles" (Brian de Palma, 1986) et là, c'est un flot de films US qui risquerait de nous emporter, tant cette mythologie correspond à l'histoire de ce pays et à son fond de commerce, d'ailleurs) (on ne parvient cependant pas à inscrire la démolition de matériel - dont on voit parfois, de nos jours, les effets ourdis par un patronat jaloux et délocalisant...)
On démolissait aussi le "spirituel"
Enregistrer un commentaire
<< Home